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Maman est une pécheresse, 2° partie

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Maman est une pécheresse, 2° partieMaman était addicte à la bite. Elle recevait chaque jour plus d’invités qui la bourraient par tous les orifices. Elle se laissait souiller par des meutes d’amants, tous plus entreprenants les uns que les autres, quand ce n’était pas des amantes lesbiennes ou bisexuelles. Cela m’affligeait dans ma (pseudo-)pruderie catholique, et je priais quotidiennement la Vierge et tous les saints du ciel pour que le Seigneur Tout-Puissant la guérisse de ce démon de la lubricité. Je priais tout en me branlant devant un crucifix très particulier, dans une église dont le curé faisait partie de mes amis : il représentait, grandeur nature, un Jésus au féminin, une femme crucifiée sans pagne ni aucun cache-sexe, aucun autre vêtement que sa couronne d’épines, les cuisses écartées, avec une motte ruisselante de désir qui semblait plus vraie que nature, et de magnifiques seins sculptés avec de ravissants petits tétons peints en rouge vif : un remarquable travail d’artiste. Chaque soir, j’arrosais ces petits petons de bois percés de clous avec ma semence brûlante de croyance. La femme semblait me sourire depuis son éternité divine. Mais il fallait plus : expier pour que Maman soit sauvée. — Regarde, Maman. C’était au moment du petit déjeuner. J’ai retiré ma chemise, afin de montrer à ma mère les stries rouges canlı bahis şirketleri que je portais sur le dos. Elles étaient longues, fines, et encore douloureuses au frottement sur le tissu. — Je me suis fait flageller afin d’expirer tes péchés. — Oh, mon chéri, comme tu es gentil de penser au salut de mon âme ! — C’est parce que je veux t’éviter une éternité de souffrance et de flammes en enfer. Je ferais tout pour cela. — Pourtant, j’aimerais bien passer toute une éternité à me faire sodomiser par des diablotins. Ou bien me faire pénétrer par tous les orifices à la fois ! — Quoi ! tu veux être damnée ! Maman, tu ne sais pas ce que tu dis ! Elle a haussé les épaules, puis a ri aux éclats. — Tu t’es bien amusé, au moins, au cours de cette séance de soumission ? C’était un pote à toi, bien musclé, je suppose ? Peut-être que tu es gay ? Si c’est le cas, tu n’as pas à t’en sentir gêné avec moi : c’est ton droit, tu sais ! — Non, c’était une femme, ai-je répondu en rougissant. Ma prof de philo… — Ah, très bien, une enseignante. Moi aussi, lorsque j’étais lycéenne et encore après, j’ai déjà vécu des histoires de fesses avec des profs. J’aimerais la connaitre. Si tu veux, tu peux l’inviter à dîner ici. Ensuite, je vous ferai le grand lit de la chambre d’amis, pour que vous puissiez copuler confortablement. Mais canlı kaçak iddaa dis, tu me laisseras regarder, et aussi la caresser un peu ? Juste un petit peu, s’il te plaît ! — Maman ! Madame Garnier est une dame très bien, pas un toute une prostituée ! — Je n’ai pas dit cela. Elle a bien le droit d’être une libertine et une cougar, comme moi, et d’aimer les petits jeunes comme toi. Tu étais attaché, afin d’expier pour moi ? Et ensuite, elle t’a branlé, je suppose ? — Oui, ai-je avoué en baissant les yeux. C’était dans sa cave, qu’elle avait aménagée en donjon. Sa compagne, qui s’appelle Léa, nous regardait tout en se masturbant. Elles sont bisexuelles. — Ce devait être très excitant. Tu me fais déjà mouiller dans la culotte, petit coquin. — Je croyais que tu n’en portais jamais ? — C’est vrai, tu as bien remarqué, mon petit coquin adoré. Alors, je vais tacher ma robe à cause de tout ce que tu me racontes. Et ensuite ? — Madame Garnier et Léa ont exigé que je me mette tout nu devant elle. Elles portaient toutes les deux des tenues de cuir rouge. Elles avaient l’air très sévères. — Sacré chenapan ! Tu devais bander comme un petit faune. — Effectivement. Puis elles m’ont attaché au plafond avec des fers reliés à des chaînes. Mes pieds ne touchaient plus le sol. C’était une posture très inconfortable. Jésus aussi canlı kaçak bahis a souffert comme cela, avant d’être crucifié. J’ai pensé à Lui pour adoucir mes souffrances. — Tu aimerais être crucifié, n’est-ce pas ?— Oh, oui ! Mais elles n’ont pas voulu me clouer sur une croix. Elles disaient que c’était trop dangereux. Dommage. — Et ensuite ? — Madame Garnier m’a fouetté. Je devais compter les coups de fouet. Il y en a eu cinquante. — Pauvre chéri ! Comme tu as dû souffrir ! — Oh, oui ! Mais c’était pour que tes péchés soient pardonnés. — Je suis certaine qu’ils le sont. Mais, tu sais, j’ai bien l’intention de recommencer… — Madame Garnier et Léa ont trouvé que j’ai été très courageux. Alors, pour me récompenser, elles m’ont sucé le membre viril. — Comme ça, a répondu Maman, la bouche pleine ? — Oui, comme ça. J’ai éjaculé dans la gorge de Madame Garnier qui a enfoncé mon sexe jusqu’au fond. Comme tu le fais là. Ah ! C’est un plaisir merveilleux ! Surtout quand tu balayes mes bourses avec ta langue. Je vais devoir expirer encore pour tes péchés, Maman chérie. — Je ne vais pas avoir besoin de mon petit déjeuner. Ton sperme est déjà tellement nourrissant ! Ni même me laver les dents : je veux en garder le goût toute la matinée. — Ce matin, je vais demander à Madame Garnier qu’elle me flagelle encore, pour nous punir. — Non, cette fois, c’est à mon tour d’expirer. Tu peux demander à tes copains d’organiser quelque chose pour moi ? — Dans le genre ? — Dans le genre bien sévère ! Si tu vois ce que je veux dire. — Avec mes potes, je crois pouvoir t’organiser ça prochainement…

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