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Punition du 2 juin 2016Quand après le dîner, pendant que je balaie la cuisine, la Maîtresse m’annonce que les petites salopes désobéissantes sont toujours sanctionnées sévèrement, elle fait allusion aux fautes commises ce matin dans la discipline mise en place pour mon éducation. Je suis donc convoquée au salon, un peu honteuse d’avoir à demander pardon. Mais, ma surprise est grande quand je vois ma Maîtresse prête à sortir, m’indiquant avec sa cravache, une tenue minimaliste à enfiler. Je suis ensuite menottée, harnachée avec mon collier de chienne et conduite jusqu’à la voiture. Après 1 heure de route, le véhicule s’arrête sur un parking à l’orée d’un petit parc entretenu. Les allées sont propres, les haies bien taillées, on devine malgré la tombée de la nuit, un endroit de promenade « référencé ».Toujours dirigée par ma Maîtresse, nous croisons quelques badauds, des hommes seuls en survêtement qui, du coin de l’œil, remarquent notre équipage. Je ne fais pas la maligne car c’est toujours humiliant d’être baladée, perchée sur des talons trop hauts, indécente dans mon uniforme transparent de catin sexy mais surtout, tenue en laisse…. De plus, ils remarquent tous la cravache que ma Maîtresse tient toujours à la main !Quand notre promenade s’arrête enfin, je suis attachée sur un poteau qui indique d’une façon claire que ce petit bois est surement un lieu de débauche malgré les panneaux d’interdiction. Les nuits doivent être chaudes et vénales, ici !Sans aucune considération pour ma pudeur, ma Maîtresse retrousse la petite robe qui couvre à peine mes formes de petite salope, afin d’exposer mes fesses, (sans culotte, car c’est interdit par son règlement !).Et la punition débute… Comme le stipule le cérémonial, je dois compter les coups à voix haute.A 50, alors que je commence à sentir mes fesses s’enflammer démesurément, j’espère une pause indiquant que le supplice est terminé ; malheureusement pas ! 10, 20, 30 coups de cravache supplémentaires cinglent encore et colorient en rouge vif mes fesses dénudées, malgré mes supplications et mes sanglots.- « Je te laisse « méditer güvenilir bahis » sur ta conduite, petite salope ! »C’est avec ces mots que ma Maîtresse me quitte, enchaînée au poteau de torture, toute nue ou presque, livrée aux regards goguenards des voyeurs. Ah oui… j’avais un peu oublié les « promeneurs » ! Ce sont eux qui fréquentent et cautionnent cet endroit et c’est aussi à cause ou grâce à eux, que la municipalité a posé cette signalisation…A peine abandonnée, j’entends des pas qui se rapprochent puis des formes qui se dessinent dans l’obscurité chien et loup de la soirée. J’entends d’abord, quelques insultes vulgaires et au début à peine audibles…. Puis, confiants dans la possibilité de m’abuser et tellement lâches de ne pouvoir faire cela qu’en bande organisée, quelques hommes s’approchent dangereusement !Enfin, maintenant je les vois, je n’ai jamais croisé leurs regards quand la Maîtresse me promenait ! Mais ils sont là !Devant moi, ou plutôt derrière moi ! Les mots crus reprennent de plus belle, les attouchements avec…Je sens des mains qui caressent toutes mes parties chaudes, mon cul tout rouge, mes seins de pétasse, ces doigts qui introduisent au début sommairement puis encouragés par les autres et par ma docilité, beaucoup plus profondément mon petit trou… Ils caressent aussi ma pissette…sans beaucoup de résultats !Ils s’encouragent eux-mêmes en disant qu’ils vont bien me baiser, que je suis à leur merci et qu’ils vont se vider les couilles dans la pute ! Ils caressent impudiquement leur sexe et se frottent à mon cul de salope ! Leurs mots crus se mélangent à leurs perversités. Ils sont maintenant 5 ou 6 autour de moi, excités comme s’ils n’avaient pas giclé depuis des semaines… Mais qui va m’enculer en premier ? Je suis attachée, je ne peux offrir que mon petit trou et servir qu’un seul homme à la fois. C’est finalement pour eux très/ très simple,… Ils décident d’un commun accord que c’est la plus grosse queue, donc le mâle dominant (Car dans cette « jungle », c’est tout à fait normal …) qui doit maintenant « ouvrir » mes fesses ! Les pantalons türkçe bahis tombent rapidement, ils se comparent en se masturbant énergiquement, je regarde moi aussi toutes ces queues tendues qui vont bientôt me violer. C’est finalement un pervers bedonnant et poilu qui gagne le concours avec une bite épaisse et longue ; ses couilles de chameau qui pendouillent sont surement pleines, il est tellement moche qu’il doit être célibataire et ne fréquente surement que des prostituées. Je comprends maintenant la punition… pourquoi ma Maîtresse insiste pour que je supporte des heures, le plug gonflable que j’ai du aller acheter au sexshop, habillée en écolière sexy et sans culotte !Alors, sans préambules, malgré le panneau qui me contraint, on m’oblige à écarter les jambes, à me cambrer au maximum pour offrir un peu de confort aux assaillants. La première queue force délibérément le passage, heureusement son préservatif lubrifié assure une pénétration presque facile, l’homme se régale d’un va et vient puissant, maintenant mes hanches pour m’abuser profondément. Il prend son temps, au grand dam des spectateurs qui se branlent en regardant. Quand enfin avec des râles de bête, il jouit dans mes fesses puis se retire, un autre prend tout de suite la place encore chaude. Leurs commentaires vicieux m’humilient un peu plus.-« alors la pute, c’est bon une queue d’homme ? Ouvre la bouche, putain, tu vas collectionner les capotes pour que ta Maîtresse puisse compter les coups » Et pendant qu’il enfonce entre mes lèvres la capote remplie de sperme ils partent tous d’un éclat de rire obscène.Le second est presque aussi gros, je veux parler de sa queue bien sur, mais aussi du gras qui l’entoure. Il s’est saisi de mes tétons et les tiraille comme pour me traire. Heureusement sa jouissance arrive très vite, mais il me promet un deuxième tour plus tard ! Je récolte un deuxième préservatif qui se colle immédiatement à l’autre, scellant mon destin. Je suis violée et abusée sans aucune réserve. Pour eux, c’est normal, je suis une pute, leurs moqueries démontrent largement les tendances machistes güvenilir bahis siteleri et leurs faims de baise. Je subis donc les envies masculines, les queues se succèdent sans répit, pour bien me ramoner, comme ils disent… Quand ils ne sont pas dans mon cul, ils se branlent sous mes yeux en commentant leur appétit ou la taille de leur sexe ou encore la façon dont ils vont me prendre…Et ils me traitent de tous les noms, me posent des questions vicieuses ou ordurières, ils disent aussi qu’ils vont m’acheter à ma Maîtresse et me mettre sur le trottoir pour faire la pouffiasse et leur permettre ainsi de se reposer.Je ne peux même pas répondre, ni râler quand une queue plus brutale que les autres violente mes fesses ou qu’une claque méchante corrige ma position.Au deuxième tour, je reprends la plus grosse dans le cul et évidemment une autre capote dans la bouche. Et ca les fait encore rire de voir leur sperme tout chaud se balancer sous mes yeux avec leurs arguments à 2 balles :- « On va pas salir ce joli coin, pas vrai pétasse ? »La nuit est largement tombée, les réverbères sont maintenant allumés, ils ne sont plus que 2 à alterner leur sexe dans mon trou bien défoncé quand ma Maîtresse revient, la cravache à la main, satisfaite de voir la collection de capotes pleines orner ma bouche. Elle laisse les hommes finir leurs forfaits avant de me fouetter une nouvelle fois devant eux.Elle dit que cette punition méritée est destinée à m’apprendre la discipline et me donner un petit aperçu de mon rang.Elle dit aussi qu’elle m’aurait bien enculée, là, maintenant, mais qu’elle se réserve le droit de le faire un peu plus tard, sur la route, dans un chemin creux ou sous le porche d’une église. Je suis enfin détachée du poteau, menottée, et ramenée, toujours tenue en laisse, jusqu’au parking. Je peux enfin cracher les préservatifs dans une poubelle et faire suivant son ordre, 3 fois le tour du parking, heureusement désert, en répétant à voix haute la phrase suivante :-« je suis une putain bien dressée, je remercie ma Maîtresse de son éducation, je serais maintenant plus obéissante ». Puis je monte à coté d’elle dans la voiture, elle profite de son autorité pour retrousser ma robe, exposant ainsi ma pissette toute honteuse, afin de pouvoir s’en saisir dès que la conduite le permettra.Corinne (pute et soumise)
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