Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32
2eme place 7(trouver sur le net)Terri conduisait lentement, faisant attention aux numéros des maisons qu’elle dépassait. Il commençait à faire sombre, et son temps était précieux.Trop c’est trop, avait décidé la jeune femme. Danielle l’avait transformée en une call-girl, avait exigé qu’elle se fasse refaire les seins, l’avait forcée au lesbianisme, baisée son mari, volée et mis en gage son alliance, l’avait fait prendre en tournante par tous les mecs du bureau, et l’avait abjectement humiliée des centaines de fois.Ça devait finir. Terri savait qu’elle ne pourrait plus supporter bien longtemps les souffrances que lui infligeait Danielle. Mais elle n’avait aucune idée de la façon de mettre fin à cette série d’abus. Danielle prenait soin de conserver des traces de toutes les activités immorales ou illégales de Terri. Elle se trouvait coincée et elle avait besoin d’aide.L’aide, espérait-elle, viendrait sous la forme de Nicole Myers, une femme qui avait grandi avec Terri et avait une intelligence aussi brillante que celle de Terri et Danielle. Plus rare, elle ne détestait pas Terri. Peut-être parce qu’elle ne l’avait pas côtoyée durant sa dernière année de lycée lorsque l’attitude de bêcheuse de Terri avait atteint des proportions astronomiques. Nancy étant partie à la fac pour étudier le droit, si Terri se souvenait bien… elle comptait dessus en tout cas…Elle était arrivée. Elle gara sa voiture, marcha jusqu’à la porte et frappa.La femme aux cheveux brun clair qui l’accueillit était petite et plutôt discrète. Elle faisait à peine un mètre cinquante, et ne pesait guère plus de 45 kilos. Sa principale qualité, ses jolis yeux noisette, étaient cachés derrière des lunettes. Elle n’avait rien d’impressionnant, et peu d’hommes avaient été impressionnés — Nicole n’avait jamais eu de rendez-vous amoureux et vivait seule. Elle travaillait comme assistante juridique et étudiait pour obtenir son diplôme de droit, un but qui lui serait accessible cette année.Assise dans le salon de Nicole, Terri se sentait déplacée. Danielle lui avait imposé de porter une robe de cocktail et ses seins 95 F semblaient à deux doigts d’en sortir. Nicole, elle, ne faisait que du 85A et n’avait même pas besoin de soutien-gorge. (Dans sa période vacharde, Terri se serait probablement moquée de ses “piqûres de moustiques”).Nicole, regardait mal à l’aise la manière choquante qu’avait Terri de s’habiller et parla en premier « Alors, Terri, qu’est-ce qui t’amènes par ici? »Terri réajusta nerveusement le bas de sa robe. Puis elle débuta. « Nicole… tu te souviens d’une fille qui allait avec nous à l’école… elle s’appelait Danielle? »Et ainsi Terri raconta son histoire.—————–Nicole était horrifiée. Être forcée de se donner à tout un groupe d’hommes comme cadeau d’invitation, et que ceux-ci mettent leur chose dans chacun de ses orifices? C’était terrible, mais pas autant que d’avoir à lécher une autre femme LÀ-DESSOUS… cette seule pensée donnait envie de vomir à Nicole.Mais la partie analytique de l’esprit de Nicole s’était mise en route. Était-ce possible que Terri ne dise pas la vérité? Durant le lycée, Nicole avait vu la plantureuse blonde jouer de mauvais tours à tout un tas de gens. La jeune auxiliaire juridique devait bien admettre que la possibilité d’un mensonge existait. Après tout, travaillant dans un cabinet d’avocat, elle entendait des gens mentir tous les jours.Donc quand Terri eut fini, la première question que posa Nicole fut : « Tu peux prouver ton histoire? » Il faut dire que n’ayant jamais eu de vraies amies, les aptitudes sociales de Nicole n’étaient pas très développées.Terri se fâcha : « Quoi… tu penses que j’aurais inventé un truc comme ça??? Tu crois que je m’habille comme ça parce que ça m’amuse? TU VEUX MONTER EN VOITURE, QU’ON AILLE JUSQUE CHEZ CARRIE POUR VOIR LA CAISSE DE MON MARI GARÉE DEVANT CHEZ ELLE??? »Nullement impressionnée, Nicole la prévint « Si tu viens chez moi pour me crier dessus, tu peux partir. »Baissant la voix, mais toujours aussi fâchée, Terri continua. « Alors, regarde ça… Tu sais que je suis blonde. Alors comment tu expliques ça? » elle souleva sa robe, et montra sa toison pubienne teinte d’un noir intense.Nicole regarda ailleurs, gênée et dégoûtée. « Terri, je vais te demander de prendre congé. J’ai des choses à faire pour demain. Alors… je vais réfléchir à tout ça. »Terri perdit son calme. « Tu vas, RÉFLÉCHIR À TOUT ÇA???? GÉNIAL!!!! Pendant que tu “RÉFLÉCHIS À TOUT ÇA”, mon trou du cul se fera farcir par une bande de mecs, pendant qu’une autre femme baisera mon mari!!! Merci BEAUCOUP!!!! C’est pas ÉTONNANT qu’aucun homme ne t’approche, avec ton attitude de MERDE!!! » Aussitôt après, Terri grimaça et regretta de ne pouvoir revenir sur ce qu’elle venait de dire.Son hôtesse se leva. « Terri, j’aimerais que tu sortes de chez moi. Je vois que tu n’as pas changé du tout. » Nicole ouvrit la porte pour son invitée. À ce moment le pager de Terri se mit à biper. Elle s’immobilisa.« Nicole…. je suis désolée… Je ne voulais pas…. mes propos étaient déplacés….. je suis désolée… »Nicole tenait toujours la porte ouverte. « S’il te plaît Nicole, aide-moi. Je réalise que j’aurais pu être beaucoup plus sympa quand on se fréquentait, et que je n’aurais pas dû te crier dessus à l’instant. Mais S’IL TE PLAÎT, pour l’amour de Dieu… Cet appel que j’ai reçu? C’est Danielle. Je dois la rappeler, pour qu’elle m’indique qui je dois baiser ce soir » — Nicole sembla gênée de l’usage du mot “baiser” — « et si je ne la rappelle pas… » La voix de Terri s’effondra.Nicole fit une pause. « Tu dois la rappeler… et elle te fera aller quelque part pour faire à l’amour à quelqu’un… contre de l’argent? »L’amour n’avait rien à voir dedans… Mais Rome ne s’est pas faite en un jour, pensa Terri avec soulagement : « Oui! c’est ce que j’ai essayé de t’expliquer! »Nicole ferma la porte, et regarda Terri avec une compréhension grandissante. Et de la pitié.Après avoir téléphoné à Danielle pour recevoir ses instructions, Terri raccrocha. Nicole qui écoutait avec un autre téléphone de la maison fit de même. Alors les deux femmes mirent au point un plan.Terri s’éloigna de la demeure, se sentant libre pour la première fois depuis longtemps. Nicole ne l’avait pas pris dans ses bras en lui disant au revoir, elle n’avait pas non plus essayé de la réconforter, elle n’avait même pas dit « Tout ira bien » — mais elle avait promis que, dès qu’elle arriverait au travail elle en discuterait avec un avocat de confiance.Et Terri était mal placée pour trouver à redire au manque de chaleur humaine de la discrète jeune femme. Après tout, lorsqu’elle était la reine du lycée, elle aurait facilement pu l’inviter dans des sorties en groupe, ou arranger un rendez-vous entre Nicole et un des nombreux jeunes hommes dont elle avait rejeté les avances. Mais à la place elle ne s’était préoccupée que de Terri, Terri… et Terri.Ce que Nicole avait expliqué à Terri était que Danielle se livrait au chantage, et que c’était illégal. Le juge prendrait donc en compte des circonstances atténuantes pour les actes illicites que Terri avait commis. Cependant, Terri AURAIT à répondre de ses actes devant Steven, mais elle était sûre qu’elle finirait par obtenir son pardon, et à regagner son amour.Terri était si grisée qu’elle mit du zèle à baiser sans relâche les trois hommes qui avaient payé Danielle pour profiter de ses faveurs. Elle grimaça à peine quand ils prirent chacun leur tour pour lui mettre dans le cul. Et après qu’ils eurent fini, s’étaient rhabillés et s’apprêtaient à partir, la jeune femme les arrêta et les supplia de lui permettre de leur sucer la bite une dernière fois. Elle le fit, et après qu’ils eurent quitté la chambre, elle savoura l’arrière-goût de foutre comme si c’était un champagne de luxe. Et dans l’ensemble, elle se sentait bien, pas de s’être comportée en salope, mais d’avoir fait quelque chose de sa propre initiative.—————–Le matin suivant, Terri entra fébrilement dans le bureau de Danielle. Celle qui ne serait bientôt plus que son ex-bourreau était installée à son bureau.« Bonjour Terri.— Bonjour, Danielle. »Danielle remarqua que sa secrétaire ne l’avait pas appelé “Madame”, mais n’en fit pas mention.S’asseyant sur une chaise en face de Danielle, la jeune femme prit une grande respiration et commença le discours qu’elle avait répété toute la nuit : « Danielle, je sais que tu as pu avoir des raisons d’être très fâchée contre moi pour les choses que j’ai pu te faire par le passé. Mais je ne crois pas que cela te donne le droit de me faire chanter. » Les yeux de sa patronne avaient immédiatement réagi à mention de “chanter”. Fais attention à ce que tu dis, Terri, se réprimanda-t-elle. Elle continua :« Je ne crois pas que ça te donne le droit de me forcer avoir des relations sexuelles avec toi. Et je ne crois pas que ça te donne le droit de me forcer à avoir des relations sexuelles avec des hommes pour de l’argent. »Danielle, étonnamment, semblait l’écouter avec attention. D’ailleurs, est-ce qu’elle ne tremblait pas un petit peu? Peut-être même avait-elle quelques gouttes de sueur… « Alors, je suis vraiment désolée pour la façon dont je t’ai traité par le passé. Mais ça ne peut pas continuer comme ça. Je veux reprendre ma vie comme elle était avant. Alors, pourquoi ne pas dire qu’on est quitte? » C’était l’hameçon.Danielle se mit à parler. « Non. Tu m’appartiens, Terri. Si tu essaies de me quitter, ou de me désobéir de quelque façon que ce soit… » la secrétaire s’adressa intérieurement des félicitations, Danielle tombait dans son piège la tête la première «…toutes les cassettes vidéos seront envoyées à ton mari, et les documents confidentiels que tu as volés iront à la police. Oh, et je ferais placer une dizaine de sachets de cocaïne dans ta voiture, et passerait un appel anonyme aux flics. » Elle s’arrêta « Tu n’aurais pas autre chose à me dire?— Comment ça? » Demanda Terri, un peu confuse.Danielle se contenta de faire un geste de la main lui signifiant de lui donner quelque chose.« Qu’est-ce… redemanda Terry— Le magnétophone, Terri » déclara Danielle blasée, comme si elle était déjà lasse de ce genre de petit jeu. « Ouvre ton sac à main et donne-le-moi. »Ce n’est que trop tard que Terri remarqua que se trouvait, près de la fenêtre, une robe à imprimé bleu chiffonné, et juste à côté une culotte toute blanche en cotonTerri regarda la robe. Une robe très ordinaire. On pourrait même dire que c’était une robe plutôt discrète. Le genre qu’on s’attendrait à voir porter par une femme banale de 26 ans et plutôt effacée.Danielle fit rouler sa chaise en arrière, révélant Nicole agenouillée et nue en face d’elle, güvenilir bahis lui léchant diligemment la chatte de la même façon que Terri la lui léchait tous les matins. Terri vit aussi que le dos et les fesses de la femme étaient couverts de zébrures et de bleus. Des dépôts de sperme séchés étaient aussi visibles sur son cul, ses cuisses et sa toison pubienne non rasée.Danielle, la voix triomphante déclara. « Nicole, mon ange, dis bonjour à Terry. »En tournant la tête, la discrète jeune auxiliaire juridique murmura « B..b…bonjour…Terri… » Elle portait toujours ses lunettes (et absolument rien d’autre) et les verres étaient embués. On pouvait tout de même voir que les yeux de Nicole étaient rouges pour avoir pleurés toute la nuit.Terri sentit la rage bouillonnée en elle. Se levant, elle saisit son sac à main, et le magnétophone caché dedans.Elle se dirigea vers la porte, et lança « Je vais à la police, salope, sale putain de CHIENNE. » Elle ouvrit la porte…… et se cogna à Scott, accompagné de cinq de ses camarades : “l’équipe” de Scott qui l’avait gangbangé en premier pour la crémaillère de ses nénés.« Qu’est-ce qu’on fait d’elle? demanda Scott.— Amenez là à la réserve de fourniture et violez-la, répondit Danielle avec désintérêt.— On pourrait peut-être aussi se retaper la future super-diplômée? se renseigna Scott avec espoir en indiquant Nicole.— Peut-être plus tard. Elle doit d’abord apprendre à utiliser sa langue, » expliqua Danielle. Puis à Nicole « Je ne t’ai pas dit d’arrêter. Continue à brouter, petite chienne. »Tout en étant escortée au loin, Terri implorait leur pitié. Pour elle… et pour Nicole.Mais Danielle n’écoutait pas.Après que Terri soit partie de chez elle, Nicole se glissa dans sa chemise de nuit et s’apprêta à se coucher. Certaines nuits, elle aimait s’étendre sur le lit, et se toucher. Elle pouvait se faire beaucoup de bien en mettant les doigts au bon endroit. Mais ce n’était pas une de ces nuits. Repensant à l’histoire de Terry elle trouva ça repoussant. La simple idée de…On frappa doucement à la porte. Et puisque personne ne rendait jamais visite à Nicole (n’ayant pas d’ami), ça devait forcément être Terri. Peut-être que les gentlemen avec qui il était convenu qu’elle fasse l’amour — qu’elle BAISE, se corrigea-t-elle avec un mouvement de recul pour avoir simplement pensée à ce gros mot — peut-être qu’ils ne s’étaient pas présentés, et que Terri était libre. Peut-être, pensa Nicole, qu’elle devrait trouver un moyen d’être plus gentille, et un peu plus réconfortante vis-à-vis de Terri.Elle entrebâilla la porte et commença à dire : « salut Ter — »VLAN! La porte fut ouverte en grand frappant la jeune femme ordinaire en plein visage et la faisant tomber à la renverse. Ce n’était pas Terri qui était à la porte… c’était deux hommes.Les hommes récupèrent une Nicole dans le coaltar et la sortirent de la maison jusqu’à une camionnette qui les attendait. Elle demanda plusieurs fois où on l’emmenait ; ils l’ignorèrent.Ils conduisirent jusqu’au centre-ville, et accompagnèrent Nicole hors de la camionnette jusqu’à la zone de chargement d’un immeuble de bureau. Puis elle fut transportée dans le bâtiment et monta dans un ascenseur de service. Pendant la lente montée, un des hommes commença à lui peloter sa minuscule poitrine.« S’il vous plaît, ne me touchez pas là, se défendit Nicole mollement.— S’il vous plaît, ne me touchez pas là! S’il vous plaît me toucher pas là! l’imita l’homme— Elle n’a aucune idée de ce qui l’attend, » ajouta l’autre homme.Les yeux de Nicole s’agrandirent d’effrois. « Écoutez — » une gifle au visage la fit taire.L’élévateur s’arrêta, et Nicole fut escortée dans un des bureaux. Quand la lumière fut allumée, elle vit qu’il y avait deux hommes en train d’attendre. L’un d’eux se leva.« Conduisez-la dans la réserve. » Les hommes obéirent. Les quatre hommes furent bientôt tous avec Nicole dans la petite pièce.L’un des hommes s’adressa à elle. « Alors que t’as dit Terri ce soir?— Rien, répondit Nicole— Tu mens, affirma l’homme. Et la gifla— qu’est-ce que t’as dit Terri? répéta l’homme.— Rien. » VLAN!!!— Scott, elle ne va pas parler.— On dirait bien, » répondit l’homme qui avait parlé en premier — Scott. « On ferait bien de trouver un autre usage à sa bouche alors… »Se tournant vers Nicole, Scott lui demanda : « Tu sais comment sucer une bite?— Non, c’est dégoûtant! répliqua Nicole comme si elle grondait un gamin de huit ans qui aurait fait quelque chose de stupide.— Dégoûtant ou pas, tu vas nous sucer. » Comme si c’était un signal, les hommes baissèrent leur pantalon. Nicole détourna le regard.« À genoux, chienne. Commence par la mienne— Non. »Sur ce, Scott déchira la chemise de nuit de Nicole. Elle était maintenant debout, nue et tremblante, mais toujours rebelle. Scott la força à se mettre à genoux et lui agrippant le haut du crâne, il força sa verge dure contre ses lèvres, mais elle refusait d’ouvrir la bouche pour la laisser passer.Collant Nicole sur une table, Scott défit sa ceinture. Pendant que les autres hommes la maintenaient fermement, Scott lui fouetta le dos et les fesses. Quand toute sa partie arrière fut rougie, il ordonna qu’on la retourne. À nouveau, il demanda à ce qu’elle le suce. Nicole, les yeux fixés sur la ceinture était remplie de terreur, mais elle secoua négativement la tête. Scott la fouetta de face. Ses petits seins… son ventre… ses cuisses. Alors il demanda encore, et elle dit non encore.« Ça me va, » dit Scott, haussant les épaules, il agrippa la jeune femme et l’étendit sur le sol. « Je vais te baiser ta chatte alors. » Nicole se débattit, mais elle n’était pas de taille face à Scott. Il l’avait immobilisée sous lui, et son gland était à l’entrée de son orifice. Il poussa.« Purée, ce qu’elle est serrée! » fit remarqué Scott à ses amis. « C’est une vierge!!! C’ÉTAIT une vierge, » il corrigea.Nicole, qui n’élevait jamais la voix, luttait pour ne pas pleurer. « S’il vous plaît….Scott. Je vais… je vais sucer votre chose… »Tous les hommes se mirent à rire. « Ma “chose”? Pépette, puisque tu vas devenir une salope comme Terri, tu ferais bien d’en apprendre le langage. Ceci -d’un mouvement rapide il s’enfonça profondément en elle, lui dépucelant l’abricot- est une bite. » Scott se mit alors en action pour baiser frénétiquement l’infortunée auxiliaire juridique. Nicole ne pouvait que gémir doucement.Après Scott, les trois hommes mirent aussi leur chose — leur BITE — en elle. Puis Scott présenta à nouveau sa queue raidie devant ses lèvres. Cette fois, elle ouvrit sa bouche à contrecœur et le laissa entrer.Il l’instruisit sur la manière d’utiliser sa bouche. « C’est ça… utilise ta langue… prends-la plus profondément… BOUGE TES DENTS. Plus profond. Maintenant, recule. Lèche le gland. Reprends-la dans ta bouche. J’AI DIT… » Sortant sa queue de la bouche, Scott recula et gifla Nicole en plein visage « … VIRE TES DENTS DE MA QUEUE, SALOPE. » Puis il fut de retour dans sa bouche. « Suce-la. Ouais. Tu tiens le bon bout. »Nicole ne fut capable de traverser cette épreuve qu’en se rappelant que Terri devait faire de même, TOUS les jours. Pendant tout ce temps elle continua à besogner la bite de Scott dans et hors sa bouche.« C’est ça. T’as un talent inné pour sucer les bites, gamine. Ouais, suce ça… ohhhhh…. et maintenant… voilà ce qui arrive… aux bonnes petites filles qui savent… comment bien sucer une bite… à la fin tu as droit à une surprise crémeuse dans la bouche… »Les pupilles de Nicole s’écarquillèrent. Elle essaya de retirer la tige turgescente de sa bouche. Mais Scott lui empoignait le dos de la tête, ses hanches lui pistonnant la bouche en va-et-vient. Il se mit soudain à crier, et la jeune femme traditionaliste, qui n’avait même jamais embrassée un garçon, sentit sa bouche se remplir de la semence crémeuse et salée de Scott. S’étouffant, elle voulut recracher, mais il maintenait sa bite dans sa bouche. Elle n’avait pas d’autre choix que d’avaler si elle voulait respirer.Quand Scott eut fini de décharger, il se retira de sa bouche. Nicole se mit immédiatement à cracher essayant désespérément de se débarrasser du goût. Jusqu’à ce Scott l’arrête. « Ça ne sert à rien ce que tu fais… tu as encore trois autres bourses à vider. » lui dit-il en indiquant les trois autres hommes, leur bite dure attendant impatiemment de découvrir et d’exercer ses nouveaux talents buccaux.Pour le reste de la nuit, les hommes défouraillèrent Nicole, la baisant dans toutes les positions imaginables. Ils avaient reçu l’ordre de Danielle de ne pas toucher à son trou du cul vierge, car Danielle avait “quelque chose de spécial” pour lui. Nicole avait aussi appris à supplier pour se faire baiser, et après quelques coups de ceintures supplémentaires, elle fut même capable de dire des phrases comme : « S’il vous plaît, Monsieur, baisez ma chatte humide, » ou « S’il vous plaît, laisser cette pute vous sucer votre bite. » Sans s’arrêter entre les mots.Ce qu’elle vivait n’était cependant pas grand-chose comparé à l’épreuve que Nicole aurait à subir au matin, quand elle serait présentée à Danielle et à sa chatte rasée toujours en manque d’affection. Et quand Terri abusée et couverte de foutre serait jetée hors de la salle de fourniture, Nicole serait encore engourdie par le choc et l’humiliation de la nuit.Terri attendait dans une chambre d’hôtel assise sur une chaise. On lui avait ordonné de mettre une mini-jupe noire serrée, avec une culotte et des bas assortis, puis elle fut amenée là par Scott et trois de ses amis.La chambre d’hôtel n’était pas très grande, il n’y avait qu’un grand lit. Et pour le moment, les hommes n’avaient pas cherché à l’étrennée aux dépens de la bimbo blonde. Terri n’avait d’ailleurs aucune envie d’avoir ses orifices à nouveau baisés, après son dernier viol elle était à peine capable de marcher. À l’occasion, un des hommes la caressait ou la pelotait, mais à part ça ils ne firent rien d’autre que d’attendre.Terri se demandait ce qui se passait pour Nicole. Les remords la rongeaient ; la situation horrible dans laquelle son amie se trouvait était entièrement sa faute. Comment avait-elle pu être si insouciante et laisser les sbires de Danielle la suivre jusqu’au domicile de Nicole?La porte s’ouvrit, et Nicole entra, escortée de Danielle, Carrie et de la femme de Scott, Angela. Celle-ci transportait un objet dont Terri avait fait une connaissance approfondie lors d’une visite au couple Scott-Angela… c’était un fouet connu comme le “chat à neuf queues”.Nicole était habillée d’une jupe toute rouge lui tombant sur les genoux et d’un chemisier blanc. Dans cette tenue elle ressemblait à une jeune étudiante BCBG. Et puis, türkçe bahis il y avait ses lunettes et ses bas blancs qui complétaient l’illusion. Nicole fut poussée sur la chaise voisine de Terri.Comme Nicole s’asseyait, Terri lui prit doucement le bras. « Ça va? » chuchota-t-elle.L’autre femme hocha la tête — bien qu’elle se sente tout sauf bien. D’ailleurs, bien qu’elle se soit de toute évidence douchée et peignée, plusieurs bleus et zébrures étaient encore bien visibles sur son visage et sur ses bras.Danielle fit taire sa rivale : « Oh, comme c’est touchant, » se moqua-t-elle avec dédain, « tant d’inquiétude pour ta complice. Mais ne t’inquiète pas… dans un tout petit moment, ta seule préoccupation sera pour tes fesses. » Elle s’arrêta de parler pour ouvrir la porte de chambre d’hôtel à trois autres de ses associés… qui transportaient de l’équipement d’enregistrement vidéo. Terri le remarqua avec un sentiment d’engloutissement, (sans être cependant véritablement surprise — la bimbo blonde était maintenant accoutumée à ce qu’on enregistre soigneusement chacune de ses humiliations).D’autres hommes entrèrent encore… certains que Terri connaissait du travail, mais il y en avait d’autres qui lui étaient inconnus… Danielle profita du temps d’installation de l’équipement vidéo autour du lit pour s’adresser à tous : « Bien… il est temps de prendre les paris. Est-ce que sera pour Mademoiselle planche à pain, ou pour Madame bonnet “F”? »Terri et Nicole étaient toutes deux confuses. « Ne vous inquiétez pas les filles, » continua leur bourreau. « Les règles de la compétition vont vous être expliquées dans quelques minutes. »Nicole d’habitude discrète parla avec une certaine assurance. « Je ne participerais pas à rien de la sorte, juste pour vous faire plaisir. » Ce qui fit ricaner plusieurs spectateurs.« Non? » s’étonna Danielle. « Angela chérie, tu veux bien venir ici, s’il te plaît? Tu voudrais bien expliquer à Mademoiselle l’étudiante salope ce que tu as dans la main. »— Avec joie, » pouffa Angela. « C’est un chat à neuf queues. On l’appelle ainsi car il a neuf lanières. S’il est bien utilisé, il peut être extrêmement douloureux tout en ne laissant que peu de marques.— Merci, dit Danielle. Alors aurais-tu la gentillesse d’en faire une démonstration sur les microscopiques petits seins de Mademoiselle l’étudiante?— Bien sûr… si tu insistes pour appeler ça des seins… »Nicole fut brisée par la peur : « Non… Pitié, je suis désolé! » Comme elle continuait de supplier et de se défendre, Scott lui agrippa les bras et les immobilisa derrière son dos, laissant sa poitrine nue face à Angela, qui prit son temps pour bien viser.SLASH!!!!« OOOOOOHHHHHHHHHHHH! »SLASH!!!!« PITIÉE!!!!! JE SUIS…. »SLASH!!!!!« AAAAAAAAGGGGGGGHHHHHHH!!!!! »Danielle leva la main. « Stop. Ça devrait être assez pour que cette chienne arrête de nous manquer de respect. » Les caméras étaient maintenant installées et prêtes à enregistrer les humiliations barbares que la diabolique femme avait concoctées pour ce soir. « Voici les règles du concours. » Ses yeux croisèrent ceux de Nicole comme pour dire : « je te mets au défi de dire quelque chose, chienne. »Mais Nicole resta coite et Danielle continua :« Laissez-moi d’abord vous dire ce qui arrivera à la perdante. J’ai passé un accord avec un homme au Moyen-Orient, il collectionne les femmes du monde entier. C’est un esclavagiste. La perdante lui sera vendue. Elle passera le reste de sa vie à son service dans un coin reculé du monde, sans aucun espoir d’être libérée ou de s’échapper. » Pour augmenter encore l’enjeu, elle ajouta : « J’ai entendu dire qu’il marquait ses femmes au fer rouge et que lui et ses amis adoraient la sodomie… tout comme les différents animaux qu’il élève dans sa ferme. »Le visage de Terri n’était qu’un masque d’effroi. Celui de Nicole ruisselait de larmes et était tout aussi silencieux.« Les règles maintenant : Le terrain de jeu est ce grand lit “king size”. Celle qui quitte le terrain de jeu sera sujette au fouet, administrée avec le petit jouet d’Angela. » Angela leva le chat à neuf queues pendant que Danielle continuait : « La première pénalité résultera en un coup de fouet. La seconde pénalité en deux coups de fouet, la troisième, trois coups de fouet… et… je suis sûre que vous avez saisi l’idée. À part Terri… qui est une bimbo vraiment stupide… mais elle finira bien par comprendre. Et il y a aussi une petite surprise… si vous êtes pénalisée, c’est votre adversaire qui décidera où vous serez fouettées. »« Le but du jeu est simple. » Danielle leur présenta un godemiché couleur crème assez large de vingt centimètres, elle le posa au milieu du lit. « La première qui pousse ce jouet au fin fond du cul de son adversaire à gagner. »Les deux femmes étaient horrifiées :— S’il vous plaît, ne nous faites pas faire ça, supplia Terri.— Pitié, je peux… tout sauf ça… implora Nicole.— Puisque c’est comme ça vous serez toutes deux fouettez jusqu’à ce que vous montiez dans le lit. Puis vous serez fouettées jusqu’à ce que l’une de vous commence la partie. »Résignées, les deux femmes se laissèrent mener chacune à un coin opposé du grand lit, ou elles se firent face en se mettant à genoux. Elles échangèrent un regard, et passèrent ainsi un accord tacite. Il s’agissait de leur survie, elles ne feraient pas de quartier.Danielle commenta : « Terri est plus massive et sans doute plus forte… Mais Nicole a un cul bien plus serré, puisque Terri adore qu’on lui enfonce des queues dans son trou de balle. Ceux d’entre vous qui étaient à la crémaillère de ses nichons pourront vous le confirmer. Dans l’ensemble c’est un affrontement assez équilibré! Maintenant, commençons… »Elle fit un signe de tête à Carrie, qui était maintenant en charge du fouet. Elle l’abattit sur le dos de Nicole, celle-ci se déplaça lentement sur ses genoux vers le milieu du lit. Comme Carrie se dirigeait vers l’endroit où Terri était à genoux, celle-ci dit « D’accord… D’accord!!!! » et elle rampa à regret vers Nicole.Les deux femmes encerclaient le godemiché, chacune prête à bondir sur l’autre s’il était ramassé. Nicole bougea la première. Mais plutôt que de saisir le jouet, elle le fit rouler derrière Terri vers la tête du lit. La bimbo partie dans sa direction, tournant le dos à la petite femme. Celle-ci se jeta sur elle et la poussa de toutes ses forces, la projetant hors du lit. Terri glapit de surprise, s’agrippant au chemisier de la petite garce et essayant de l’entraîner avec elle. Mais le petit bout de femme était prêt, et accrocha ses pieds fermement au bord opposé du lit. Terri ne parvint qu’à déchirer quelques boutons du chemisier de Nicole, qui fut laissé partiellement ouvert, laissant voir un tout petit sein bien pâle.« Formidable! On a notre première pénalité! Bien joué! » complimenta Danielle. « Où devons-nous lui faire les honneurs du fouet?— S…Son… d… d..d..derrière….? » Nicole indiquait ce qu’elle voulait en pointant l’arrière-train de Terri.Carrie s’y conforma soulevant l’ourlet de la robe de la bimbo et exposant le délicieux petit cul en forme de cœur. Levant le fouet avec un petit sourire, elle le fit redescendre en sifflant sur sa cible. Terri eut un sursaut, mais ne cria pas… Ça faisait mal, mais c’était fini. Et elle avait toujours le gode à la main! Elle avait une situation favorable.Danielle demanda un “temps mort” et prit le fouet des mains de Carrie :« Notre nouvelle salope semble avoir un problème de vocabulaire. « Son “DERRIÈRE”? » imita Danielle. « On ne sait pas ce que c’est. Tu aurais dû dire : “le CUL de cette salope… ” Là, on aurait compris ce que tu voulais dire! Il va y avoir une nouvelle règle, applicable exclusivement à Mademoiselle planche à pain. Si à un quelconque moment elle échoue à utiliser un langage qui correspond à celui d’une petite pute comme elle, elle sera fouettée. Pour qu’elle enregistre bien, je vais lui donner une leçon. »Danielle força la femme à se lever. « Ceci, » lui explique-t-elle en levant le fouet et le faisant atterrir sur l’arrière-train de Nicole, « est ton cul. » Le bourreau leva à nouveau le fouet. « Ceci est ton con, » faisant cingler le fouet avec un SLASH!!! pour souligner le dernier mot. « Les autres réponses que j’accepte sont : CHATTE (SLASH!!!) ou TROU À BITE (SLASH!!!) Et ça, ce sont tes NICHONS!!! (SLASH) »« Maintenant, essaie… » Danielle se mit à fouetter Nicole sur sa poitrine, sa chatte et son cul, insistant pour qu’elle utilise le vocabulaire qu’elle venait d’apprendre pour décrire chaque partie de son anatomie. Pleurant et ayant encore plus honte qu’elle ne le pensait possible, la jeune femme coincée récita le nouveau champ lexical. Quand Danielle fut satisfaite, Nicole fut autorisée à retourner dans son coin du lit.Pendant ce temps, Terri avait rangé le gode dans sa robe, en sécurité entre ses deux gros seins, réalisant qu’elle aurait besoin d’avoir les mains libres pour immobiliser Nicole et lui fourrer le jouet dans son cul de vierge.Nicole avait vu l’accessoire niché dans le large décolleté de Terri. Elle tenta de l’att****r, mais n’eut en main qu’une poignée de robe de la bimbo. Elle tira dessus, ce qui eut pour résultat un bruyant SCRAAATCH!!! déchirant le devant de la robe. Des exclamations se firent entendre dans le public comme les deux mamelles de Terri jaillirent, libérées… tout comme le gode. Les deux femmes se battirent pour l’avoir, mais il tomba hors du lit. Avant qu’aucune des filles ne puisse se pencher pour le récupérer, l’un des hommes assistant au spectacle lui donna un coup de pied le faisant rouler sous le lit. Une des deux filles devrait descendre du lit pour le récupérer.Mais pour le moment, Terri constatait surtout l’état dégradé de sa robe.« Sale CHIENNE!!!! » cracha-t-elle en poursuivant l’autre femme. Elle agrippa les cheveux de Nicole, et lui enfonça le visage dans le matelas, puis elle s’assit sur tête. Elle prit le dos du chemisier de Nicole de ses deux mains, et tira jusqu’à ce que tous les boutons se mettent à lâcher, puis elle tira sur les manches. Nicole était seins nus maintenant. Conservant son avantage, Terri commença à vouloir lui retirer la jupe.Cependant, Nicole se tortilla jusqu’à être libre et repoussa Terri. Remontant sa jupe, la jeune femme timide découvrit qu’elle n’avait plus de haut et que ses seins étaient exhibés devant tout le monde. Gênée, elle utilisa un bras pour se couvrir la poitrine, et chercha autour d’elle ce qui restait de son chemisier.Ce fut l’occasion que choisit Terri pour lui foncer dessus, l’envoyant voler hors du lit pour la faire atterrir à même le sol dans un résonant SPLAF! C’était maintenant au tour de Nicole de recevoir un coup de güvenilir bahis siteleri fouet. Carrie maniant le chat à neuf queues attendait les instructions. « Sur les nichons, » requit Terri.Nicole avait déjà trouvé la flagellation du chat à neuf queues douloureux à travers ses vêtements, et sur sa poitrine nue, ce fut atroce… Elle dut se mordre les lèvres pour ne pas hurler, ne voulant pas donner satisfaction à ses ravisseurs.Beaucoup d’hommes avaient ouvert la braguette de leur pantalon et sorti leur bite pour se branler… Et plus d’une chatte humide recevait des caresses.Pour le deuxième coup de fouet, Terri exigea que le coup soit porté sur le dos de Nicole. Alors qu’elle recevait le fouet, Terri lui rappela de ne pas oublier de reprendre le gode.Le récupérant, Nicole retourna sur le lit. Et, immédiatement, Terri essaya d’utiliser sa force brute pour la pousser à nouveau au sol afin qu’elle reçoive une nouvelle pénalité. Mais la petite femme était plutôt forte pour sa taille et la seule chose que parvint à faire Terri fut de permettre à Nicole de lui déchirer le reste de sa robe. Les hommes se mirent à brailler et à siffler alors que le corps parfaitement galbé de la bombasse était dénudé.Terri n’était plus vêtue que d’une culotte noire et de bas assortis. Les deux femmes se regardaient en chien de faïences accroupies à chaque bord du lit. La paire de nichons géants de Terri gigotaient au moindre de ses mouvements, faisant les délices du public.« Mi-temps! » cria Danielle. « Je suis sûre que les spectateurs aimeraient une petite pause, et pendant ce temps, nos deux salopes font nous faire un 69 pour le plaisir des yeux. Carrie, l’aficionado du fouet se déplaça pour faire respecter l’ordre de Danielle. Terri enfouit rapidement le visage de Nicole dans sa chatte, tout en abaissant son propre visage dans le con de l’autre femme. Elle cambra légèrement le dos pour compenser la taille plus petite de Nicole. Remontant la jupe et déplaçant la culotte de son adversaire sur le côté, la secrétaire plongea langue la première dans le con. Nicole eut un sursaut.Le jour précédent, l’assistante juridique avait eu la chatte violée par une douzaine d’hommes différents. Et elle avait fait jouir Danielle avec sa propre langue. Mais c’était la première fois qu’une langue la labourait “LÀ-DESSOUS…” Et elle se dit que ce n’était pas si mal après tout.Sauf que…Terri mordait le clitoris de Nicole. FORT. « Lèche-moi, » la pressa-t-elleNicole trouvait ça trop dégoûtant : « Je… ne peux pas…— Écoute sale chienne… je ne vais pas me faire fouetter à cause de toi. Alors, LECHE-MOI! » ordonna Terri.Avec hésitation, Nicole commença à lécher Terri… À travers la dentelle de sa culotte.« Putain de merde… » Terri saisit sa culotte noire et la poussa de côté, puis recommença à faire reluire la chatte de sa prude amie. Embarrassée, Nicole commença à brouter. Les hoquets et les gémissements de Nicole se firent de plus en plus forts. Terri avait passé de longues heures entre les jambes de Danielle (et, récemment entre celles de Carrie aussi) et elle était passée maître dans l’art du cunnilingus. Nicole était loin d’être aussi douée, mais ça suffisait.Après plusieurs minutes, Danielle sépara les deux femmes. Ce qui fut accueilli par des grognements que la patronne fit taire. « Ces deux putes ont besoin de leur dose de protéine pour pouvoir continuer le match. Tous ceux qui souhaitent les aider à recevoir leur nutrition peuvent former deux lignes, et je suis sûre que nos deux salopes seront ravies de vous servir avec leur bouche à pipe. »Huit hommes s’alignèrent… Quatre en face des deux femmes agenouillées. Terri, une vraie pro, engloutissait et dévorait les bites avec appétit, jusqu’à ce chacune d’elle explose dans sa bouche. Avec Nicole, l’apprenti suceuse, les hommes lui agrippaient les cheveux et lui baisaient la bouche, la remplissant de foutre, à son grand déplaisir. Comme un des hommes se retira de la bouche de la jeune femme pudique pour lui éjaculer sur le visage, Terri prit note de son regard révulsé et son empressement à s’essuyer de la semence qui la couvrait. Cela lui donna une idée. Se retournant vers le prochain homme dans la file, elle reprit son service de suceuse.Quand le duel reprit, Nicole donna l’impression de vouloir se rapprocher prudemment du gode. Terri se déplaça à genoux directement vers son adversaire, elle ouvrit la bouche. Elle y avait gardé une importante quantité de foutre de ses pipes, elle cracha toute la substance visqueuse sur le minois et les lunettes de Nicole. Les mains de celle-ci se précipitèrent vers son visage et elle fit tomber ses lunettes en essayant de retirer la répugnante gelée de sa figure. Dans la confusion, Terri parvint à lui ôter la jupe et à la faire tomber au sol.Nicole reçut deux coups de fouet sur les seins, et un sur les cuisses. Retirant ses lunettes éclaboussées par le sperme, elle fit de son mieux pour les nettoyer avant d’être ramenée sur le lit. Terri alla droit sur elle, ses gros nichons se balançant de droite à gauche. Elle entraîna la pauvre fille jusqu’au bord du lit et la poussa dehors. Elle en profita pour tenter de saisir la culotte en coton blanc de Nicole. Mais malheureusement, la plantureuse femme perdit son équilibre et vint s’écraser juste à côté de Nicole, mais elle était parvenue à enlever la culotte blanche au passage.Chaque fille eut droit à quatre coups de fouet.Nicole en reçut deux sur ses fesses nues, et deux sur sa chatte sans protection. (« S…S’il te plaît? Pas… là… » Avait-elle supplié, récoltant quatre frappes supplémentaires sur l’abricot.)Terri eut droit à un coup sur chaque sein et deux sur la plante de ses pieds nus. Terri hurla de douleur, en recevant sa pénalité administrée par une Angela écumante.Les deux filles retournèrent sur le lit, Terri se fit la réflexion qu’elle était en plutôt bon état. Nicole était complètement nue excepté pour ses collants. Et en dehors du fait qu’elle se retrouvait à poil, ce qui l’humiliait affreusement, le vrai avantage était que son trou du cul était devenu facilement accessible.Mais Terri savait qu’elle ne pourrait pas fourrer la fausse bite dans le tout petit trou du cul vierge sans lubrifiant. Elle prit le jouet, sans que Nicole ne tente de l’en empêcher, et enfonça une bonne partie dans sa bouche, salivant sur tout le plastique.Nicole avait alors bougé comme l’éclair. Elle se plaça derrière Terri, agrippa la base du godemiché de ses deux mains et poussa, forçant le tube en plastique à s’introduire plus loin dans la gorge de la secrétaire. Terri luttait, mais le gode s’enfonçait inexorable de plus en plus profondément. Elle étouffait dessus, haletait pour chercher de l’air. Elle se rendit compte que son seul espoir était de les mettre toutes deux au sol, cela arrêterait le jeu par une séance de flagellation commune, elle partit en avant.Mais Nicole était prête. Elle se pencha en arrière, tirant Terri sur elle, tout en continuant d’agripper le gode de toutes ses forces. Le visage de la bimbo, normalement bronzé, virait maintenant au bleu. Désespérée Terri griffa les mains de l’étudiante, essayant de lui faire lâcher le godemiché. Mais en vain.Steven… pensa-t-elle avant de s’évanouir——–Quand elle reprit conscience, Terri se rendit compte que tous les hommes et les femmes entouraient le lit, et encourageaient Nicole. Elle avait aussi la sensation que l’on pressait quelque chose dans son trou du cul. Nicole était assise sur elle, et lui glissait le gode dans le cul. Dix centimètres avaient déjà disparu dans son anus. Maintenant quinze. Terri serra les muscles du sphincter, ralentissant les progrès de l’envahisseur anal. Nicole redoubla d’efforts.Carrie se pencha à l’oreille de Terri :— On dirait que tu vas perdre et être vendu comme esclave de harem… Comme je me marierais avec Steven. Peut-être que Nicole sera l’une de mes demoiselles d’honneur…— NOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNN!!!!!!!Terri serra de toutes ses forces son oignon, forçant le gode à remonter. Nicole perdait prise sur le plastique, et Terri regagnait des forces. Le godemiché finit par ressortir du cul de la salope dans un bruit obscène de bouchon. C’était de la musique aux oreilles de Terri.Repoussant Nicole, Terri partit à l’offensive. Après une courte lutte, elle immobilisa la petite femme. Elle lui enleva le gode gluant des mains et l’aligna sur la minuscule rosace qui constituait son trou du cul vierge. Elle poussa. Mais Nicole se tortillait, et le jouet finit dans sa chatte à la place. Terri commençait à le retirer quand elle eut une autre idée. Elle glissa le godemiché de nouveau dans l’abricot de Nicole, baisant la prude femme avec une énergie de furie. Terri eut de la chance et atteint Nicole juste au bon endroit, la faisant jouir en un instant. Continuant à la pistonner du gode, la traînée amena sa langue sur le clitoris de Nicole et commença à jouer avec. Nicole abandonna tout semblant de lutte ou de résistance et ses mains agrippèrent la chevelure blonde de Terri, la guidant exactement où elle avait besoin de se faire lécher. Les cris d’extases de Nicole remplièrent la salle, et lorsqu’elle se remit à jouir, la mouille coulait abondamment de sa chatte.Pendant que la langue de Terri continuait à s’occuper de son bouton à plaisir, elle retira le godemiché de la chatte de Nicole et le plongea dans son innocent trou du cul bien serré. Les cris d’euphorie de Nicole se transformèrent en des hurlements aigus et incohérents, mais ses mains ne lâchèrent jamais la tête de Terri. Celle-ci n’arrêta pas de lui lécher le jus sortant de sa fente… même après que le godemiché soit complètement enterré jusqu’à la garde dans le cul. La terne auxiliaire juridique et future esclave de harem était “au tapis.”Après avoir fait une injection à Nicole, Danielle se débarrassa de la seringue hypodermique. « Quand elle se réveillera, elle sera dans la soute d’un cargo dans les eaux internationales. »En partie horrifiée, et en partie victime d’une fascination morbide, Terri regarda les sbires de Danielle fourrer Nicole sans connaissance dans une caisse cubique, dont les côtés ne faisaient pas plus de cinquante centimètres.« Penses-y Terri… C’était encore une pucelle. Et le seul contact intime qu’elle connaîtra de toute sa vie sera de se faire prendre brutalement en gang-bang. Et, » conclut-elle avec un sourire triste, « tout ça par ta faute! » Les yeux de Terri se remplirent de larmes de culpabilité. « Penses-y, la prochaine fois que tu recruteras de l’aide pour m’arrêter. Souviens-toi de ça, Terri… Tu m’appartiens. Tu resteras ma chose pour le reste de ta vie… ou jusqu’à ce que j’en ai marre de toi et que je t’envoie rejoindre ton amie au Moyen-Orient. » Là-dessus, Danielle s’en alla.Terri était si engourdie de honte et de remords qu’elle ne remarqua même pas que, quand les hommes eurent fini de clouer la caisse, ils la poussèrent sur le lit pour célébrer sa “victoire” par une tournante.
Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32
Comment here