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CONFINEMENT QUAND TU NOUS TIENS – 2

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CONFINEMENT QUAND TU NOUS TIENS – 2CONFINEMENT QUAND TU NOUS TIENS – 2Le lendemain matin, je ne suis évidemment pas en retard. Ponctuel, 7h30, je suis garé dans la cours de la propriété. Je contourne la villa et j’aperçois la baie de la cuisine entrouverte. Je m’approche et me trouve face à Estelle, elle était là, à m’attendre. Elle était douchée, les cheveux libres et encore mouillés. J’ouvre et suis accueillis par un sourire franc et sincère. Estelle est simplement vêtue d’un long et large débardeur blanc, lui arrivant à mi cuisses, et très échancré sous les aisselles. Elle s’approche, pose sur mes lèvres un doux baiser et me demande :-« Vous avez vu Romain ? »-« Oui, je l’ai croisé en voiture avant d’arriver. »-« Super, moi, j’ai fermé toutes les portes et ressorti le baby-call du placard. Je me suis douchée et bien préparée. Je nous fais un petit café ? »-« Oui, merci » répondis-je, sans bien comprendre ce qu’elle entendait par bien préparée. Elle se tourne et s’active sur la Nespresso. Je peux voir ses seins vibrés pendant ses mouvements. Je viens et me plaque contre elle, contre son dos. Je pose mes mains sur ses hanches et viens déposer quelques baisers dans son cou. Mes mains viennent caresser son petit ventre rond à travers le fin coton qui la couvre. Ma main gauche remonte et vient soupeser son sein lourd, ferme et plein. Estelle penche la tête en arrière et vient m’embrasser. Ma main passe dans l’échancrure et se positionne sous le sein, l’autre reste à flatter délicatement son ventre rebondi. Elle abandonne ma bouche et revient à nos cafés. Ma main caresse en douceur ce sein, un doigt vient chercher la peau légèrement piquée et rosacée de l’aréole. Une fois atteint, il tourne lentement, suivant la ligne de démarcation des peaux tout en effleurant le doux téton.-« Hummm, j’adore votre douceur, votre délicatesse. » me dit-elle-« Merci, je sais simplement m’adapter au moment, à la personne, et à ses attentes. »-« C’est merveilleux » ajouta t-elle en venant m’embrasser.Elle ronronnait de bonheur. Je quitte ce sein, att**** son débardeur et le remonte. Estelle lève les bras au ciel et me permet de le retirer. Je le jette négligemment sur le plan de travail de la cuisine et reviens me plaquer contre son dos. Mes mains viennent toutes les deux caresser et titiller ses seins, aréoles et tétons délicats. Estelle gémit déjà sous mes caresses, de petits, d’excitants et doux gémissements. Ses mains se glissent entre nous et viennent ouvrir et faire tomber mon pantalon sur mes chevilles. Estelle cherche du regard et trouve le petit marchepied bien utile à sa fille pour atteindre l’évier, l’att**** de la pointe du pied et le fait glisser sous elle, y monte pour se mettre à bonne hauteur et en se tournant vers moi, me dit.-« Prenez moi, maintenant » avec une voix douce et presque de supplication.Sans un mot, mon caleçon rejoint mon pantalon. Je glisse une main entre ses jambes très légèrement ouvertes, la pose sur son sexe glabre et dans un mouvement de retrait, mes doigts plongent dans un marécage de plaisir. C’était comme une vérification, mes caresses mammaires ont été efficaces, elle est totalement prête.Je tiens mon sexe tendu d’une main, écarte légèrement sa fesse gauche de l’autre. Estelle, d’une main, vient tirer sur sa fesse droite. Son sexe s’entrouvre, luisant, gourmant. Je viens présenter mon membre à l’entrée de vagin qu’elle s’apprête à m’offrir. Je pousse doucement jusqu’à ce que son trésor avale mon gland. Ses lèvres se referment et enveloppent maintenant ma verge sur une dizaine de centimètre. Estelle gémit, relève la tête, sa bouche est grande ouverte.-« Je suis comblée, remplie, c’est trop bon ».-« Remplie ? Pas encore, sentez bien comme je me glisse en vous, encore et encore » lui répondis-je en continuant à pousser en douceur. -« Mon dieu, que c’est bon. Votre queue est énorme, mais vous êtes si doux, quel pied ! Allez y, mettez moi tout. »-« J’y compte bien, surtout que ça rentre tout seul. »Me voilà bien planté, figé au fond de son délicieux vagin. Son excessive lubrification me permet, comme rarement, de la pénétrer lentement et d’un trait jusqu’à la garde. Mes bourses viennent s’écraser contre ses fesses et nos mains qui les écartaient. Nous lâchons simultanément les deux globes fessiers qui viennent instinctivement se mouler parfaitement sur le haut de mes cuisses et mon pubis. Je sens la main douce et délicate d’Estelle qui s’est glissée entre ses jambes pour venir flatter mes couilles remontées dans mes bourses. Mes mains viennent sous ses seins, les pouces sur les tétons devenus dur de plaisir, et en tirant légèrement, j’incite Estelle à se relever jusqu’à venir se plaquer contre mon torse. Elle bascule légèrement sa tête et m’offre ses lèvres et sa bouche à embrasser. Puis elle me dit :-« Je ne vais pas tenir, je sens que je vais jouir, très vite, trop vite. »-« Laissez vous aller, ne vous retenez pas, jouissez. »-« Je suis totalement incapable de me retenir, je ne maitrise pas mon corps. Vous le rendez libre, autonome. »Sur ses mots, j’entame un mouvement lent de retrait. Sa main libère mes bourses, ses doigts caressent ma verge qui se retire lentement. Je coulisse jusqu’à ne laisser que mon gland en elle, mes mains jouant tendrement avec ses seins. Puis je repart tout aussi lentement vers le fond de sa grotte d’amour, Estelle gémit, tremble déjà. Une fois bien calé au fond, je renouvelle mon retrait. Je maintiens Estelle dont le corps s’agite, et la pénètre une nouvelle fois. Son corps se crispe. Elle se tend, son vagin se contracte et enserre mon membre. Elle tremble et avant qu’elle ne se mette à crier de plaisir, j’abandonne un sein pour venir étouffer le hurlement de plaisir qui peut réveiller la petite Fleur malgré toutes les portes fermées et mettre fin à notre petite partie fine.Elle jouit après à peine une minute de pénétration. Son corps tremble encore et encore, l’orgasme qui la traverse est interminable. Une bonne minute où elle est ailleurs, au paradis, son sexe se crispe et se décrispe sans cesse autour de ma verge plus tendue que jamais. Je retire ma main de sa bouche, elle retrouve peu à peu ses esprits, elle se calme, elle se détend, me regarde amoureusement par dessus son épaule et dit :-« Mais mon Dieu, je n’ai jamais jouit aussi vite, aussi fort. Je crois que je fais être accro à votre énorme queue. Putain, quel bonheur, quel pied. »-« Mon plaisir, simplement de vous faire et vous voir jouir, est immense. Maintenant, je vais changer de rythme.»-« Vous voulez me faire mourir ? »-« Oui, mais de plaisir » ajoutais-je en l’embrassant dans le cou.J’att**** ses seins à pleines mains, sans délicatesse. Je les malaxe, fait rouler ses tétons entre mes doigts, les pince tout en commençant coulisser dans ses nymphes gluantes à une vitesse canlı bahis şirketleri soutenue. Estelle gémit, ses mains rejoignent les miennes et les aident à malmener ses seins. Je la secoue, la pilonne, lui martèle le vagin puissamment. Mon bassin s’écrase avec force contre ses fesses dont le tremblement est ininterrompu. La puissance de mes coups de reins la fond décoller du marchepied sur lequel elle est perchée. Je maltraite sa poitrine, son vagin, ses fesses et la serre puissamment contre moi. Elle subit mes violents assauts, elle encaisse bien les coups de mon gland qui vient frapper le fond de sa cavité vaginale. Il me faut cinq bonnes minutes de ce violent traitement pour la sentir se déconcentrer. Elle perd pied, ses mains glissent de ses seins, ses gémissements s’amplifient, la tonalité de sa voix change d’octave. Son corps se rigidifie brusquement, son deuxième orgasme l’atteint, elle est irradiée par le plaisir de jouir à nouveau quelques minutes seulement après lâché prise une première fois.Je relâche la pression sur ses seins et recommence à les caresser délicatement, en restant figé et calé dans son antre de plaisir. Je la laisse reprendre pied, retrouver un peu d’équilibre, puis me retire lentement. Ses fesses sont rouges, meurtries par mes coups de reins, comme ses joues, la veille, lors de sa demande, son aveu. Sa vulve, habituellement rose pâle, est rougie, luisante de mouille. Ses cuisses, presque jusqu’à ses genoux, sont elles aussi mouillées. Je regarde mon bas ventre, mon sexe est évidemment brillant et recouvert de son jus de plaisir, mais je suis trempé jusqu’à mi-cuisse. Elle a pris un sacré plaisir cette petite coquine, pensais-je.Elle descend de son petit perchoir, me regarde souriante, puis fixe mon membre tendu vers elle tel un étendard. Elle baisse les yeux et sourit en me voyant, les pieds enchevêtrés dans mes vêtements. Estelle s’accroupie, me déchausse et retire mon pantalon et caleçon. Après m’avoir libéré de mes entraves vestimentaires, elle pousse de l’intérieur de sa main mon sexe contre mon ventre et entreprend un délicieux et délicat léchage des parties de mon corps enduites de sa cyprine. Estelle me lèche langoureusement les cuisses, remonte lentement vers mes bourses. Sa langue glisse entre mes cuisses, que j’écarte gentiment en fléchissant mes genoux, pour atteindre mon anus. Elle le titille légèrement et revient laper les couilles. Sa léchouille s’accentue, sa langue écrase mes testicules, sa bouche s’ouvre et se plaque en aspirant. Estelle gobe un testicule, et tout en continuant d’aspirer, le caresse de sa langue délicate. Elle jette ensuite son dévolu sur le jumeau. Mes couilles son baveuse, mais quel délicieux supplice, sensation étrange, entre se faire arracher et avaler les couilles, et se faire lécher et lubrifier abondamment les bourses. Estelle cesse son aspiration et lèche méticuleusement la base de ma verge, puis remonte lentement jusqu’au frein. Elle est appliquée, délicate, douce. Une de mes mains caresse sans pression sa tempe et sa nuque en guise de remerciement. Mes doigts massent son cuir chevelu. Après quelque minute de ce consciencieux léchage, Estelle s’attaque à mon gland. Elle le ramène vers sa bouche d’une légère pression de la main et le pose sur sa langue. Les lèvres m’enveloppent, je sens la langue commencer à s’enrouler, glisser, titiller et caresser mon gland gonflé. De la pointe de sa langue elle pousse et force mon urètre comme si elle voulait le pénétrer. Je m’entends gémir, un vrai bonheur. Estelle a vraiment haussé son niveau depuis la veille, mais sa bouche était incapable d’ingurgiter plus que mon gland et quelques centimètres de ma tige. La plus grande partie restant à l’extérieur. Ma main se glisse sur sa nuque et la maintien un peu plus fermement, mais pas trop pour ne pas l’effrayer. J’entame un petit va et vient, lent et de très faible amplitude. Après quelques aller et retour, j’ai gagné deux ou trois centimètres, mais en voyant la bouche déformée et le visage grimacé d’Estelle, je sais que je n’irai pas beaucoup plus loin sans lui être désagréable. J’arrête donc mes mouvements. Elle s’applique encore quelques minutes, puis me libère en se levant pour venir m’embrasser. Je penche ma tête pour venir à la rencontre de sa bouche. Nos langues s’entremêlent, nos salives se mélangent puis nos lèvres se séparent et Estelle me demande de m’asseoir. Je m’exécute sans sourciller et elle vient s’asseoir sur mes cuisses, face à moi. Mon membre tendu, coincé entre nos ventres, ses seins s’écrasent contre mon torse lorsqu’elle vient m’enlacer et m’embrasser. Nos bouches se séparent, elle me serre fort, ses bras autour de mon cou. Je réponds à son étreinte, mes bras l’enveloppent puissamment. Après quelques baisers dans le cou, elle me susurre à l’oreille :-« J’aimerai que vous me preniez »-« Avec plaisir, Estelle »-« Oui, mais par le derrière » ajouta t-elle-« Pas de problème, mais hier, il m’a semblé que cette accès était plutôt verrouillé »-« Non, pas du tout, même s’il n’a jamais été utilisé par Romain, il a déjà servi »-« Parfait » ajoutais-je-« Hier, je n’étais pas prête, pas préparé, il était hors de question que je vous libère, se sexe souillé. »-« Quelle belle attention, mais moi, ça ne m’aurai pas gêné ».-« Vous peut-être, mais pour moi ce n’est pas possible. Aujourd’hui, pas d’accident possible, je me suis fait un lavement ce matin, avant de prendre ma douche. »Puis elle ajoute :-« je souhaite que vous me prépariez un peu, j’aimerai bien ne pas être déchirée par votre engin. Et une fois prête, j’aimerai m’asseoir sur vous pour maitriser la pénétration. »-« Vos désirs son des ordres, Estelle. Tendez moi vos fesses »Elle relâche son étreinte, pose ses mains sur mes joues, me sourit et m’embrasse une dernière fois avant de se lever. Je me lève, pose mes mains sur ses hanches, et l’encourage, en la soulevant légèrement, à s’agenouiller sur la table ronde de la cuisine. Installée, les pieds pendants au bord de la table, son petit ventre entre ses genoux et accoudée, elle m’offre son fessier tendu, ouvert et magnifique. Mes mains caressent son beau cul, même si cette positon à toujours tendance à exagérer la taille réelle des fesses d’une femme, elle leur donne également une beaucoup plus grande fermeté. Le cul d’Estelle est beau, blanc, les fesses séparées par une petite ligne rouge pâle, interrompue par son œillet rose et élégamment fripé, et terminée par ses magnifiques grandes lèvres refermées pour protéger sa vulve délicieuse. Mes doigts parcourent sa peau, glissent et caressent cette ligne de démarcation. Mon index s’arrête sur cette fleur, ce bourgeon rose qui va éclore, dans peu de temps, sous la douceur de mes caresses pour se laisser butiner par ma langue puis par mon sexe. canlı kaçak iddaa Je m’agenouille, mon doigt caresse la peau fripée et glisse jusqu’à l’entrée de la vulve pour s’y introduire, libérant l’anus pour ma langue impatiente. S’en suivent une longue et délicieuse pétale de rose, accompagnée d’un petit doigtage. Estelle apprécie et gémit doucement. Ma langue glisse, tourne, se tortille jusqu’à ce que sa pointe écarte et s’enfonce facilement dans les sphincters qui se détendent. Après quelques allers et retours, la langue pénètre profondément dans ce fondement accueillant.Mon index trempé et entièrement recouvert du lubrifiant naturel d’Estelle, remonte, ma langue s’écarte, ma bouche se décolle, mon visage s’éloigne et mes yeux admirent ce doigt s’enfonçant avec facilité dans le pistil de cette belle fleur rose. Mon doigt coulisse en elle par de lents et profonds va et vient. Ma langue caresse la peau plissée autour de mon doigt, déposant sans cesse de la salive salvatrice. Mon index est rejoint maintenant par mon majeur et sans trop d’effort retrouve son voisin, enfoncé bien au chaud dans ce doux canal. Je masturbe l’anus d’Estelle à deux doigts, qui m’encourage par de délicats gémissements. Mes doigts glissent et tournoient dans le conduit. Tout en faisant des petits mouvements rotatifs, j’écarte mes doigts, dilatant encore cette fleur. Après deux bonnes minutes et sentant l’anus d’Estelle bien détendu, je glisse l’annulaire et c’est maintenant trois doigts qui vont et qui viennent pour détendre encore ce muscle à la recherche de sa limite d’élasticité. Je me lève, caresse les fesses d’Estelle de ma main disponible. Les gémissements s’amplifies, et s’accompagnent de petits coups de reins. Je profite de son envie d’être sodomisée pour glisser l’auriculaire et la pénétrer à quatre doigts. Elle accepte et ma main glisse en elle, arrêtée par la garde de mon pouce. Estelle ne semble pas souffrir de l’extrême dilatation que je lui fais subir, elle est prête à être, maintenant, sodomisée.Une main posée sur le haut de sa fesse gauche, je retire lentement mes doigts, contemple sa fleur rose totalement ouverte et le pistil rouge exposé. Je m’avance, le gland pointé sur la cible pour venir butiner. Mon sexe se pose contre l’anus distendu et sans pression, mon gland s’enfonce et disparaît dans les entrailles d’Estelle qui s’écrit soudain :-« Non, s’il vous plait, je vous ai demandé de ne pas me prendre, s’il vous plait, je ne veux pas être déchirer »Tout en me retirant, je réponds :-« Pardonnez moi, mais vous êtes tellement détendue et distendue, que je n’imagine pas vous blesser. »-« Mais, si vous y tenez, venez vous asseoir sur moi, je vous en prie. » rajoutais-je en m’asseyant sur la chaise et en montrant d’un geste de la main mon étendard en position d’attente.Estelle descend de la table, me sourit, regarde mon sexe bandé à l’extrême pour elle et dit :-« Je sais bien que vous m’avez très bien préparé, vous avez même faillit me faire jouir, mais j’ai encore quelques inquiétudes sur ma capacité à recevoir complètement et sans trop en souffrir, la totalité de votre magnifique queue. »-« Et bien la voilà à votre disposition, elle est debout, droite et dure pour vous. »Sans en dire plus, Estelle se tourne, place ses pieds entre les miens, m’obligeant à écarter légèrement les genoux pour lui faire place. Elle pose une main sur sa fesse, l’att**** et l’ouvre tout en fléchissant ses jambes pour att****r mon membre de son autre main. Une fois saisi, elle approche sa fleur encore entrouverte de mon gland. J’arrête sa course, la bloquant d’une main, je crache un gros paquet de salive dans l’autre et viens enduire son anus. Estelle me regarde par dessus une de ses épaules, me sourit en guise de remerciement, et vient poser sa corole sur mon gland gonflé. Elle fait quelques petits mouvements circulaires avec ses hanches puis appuis jusqu’à faire disparaître mon gland en elle.Mes yeux sont rivés sur son cul, sur mon sexe qui disparaît peu à peu, lentement mais surement dans cette voie contre nature et pourtant si appréciée. Elle a lâché ma queue, ses mains sont posée sur mes genoux qui lui servent d’appuis. Elle ne dit mot, pas un cri, pas un gémissement, seulement le bruit d’une forte respiration. Encore quelques centimètres et je serai totalement en elle. Elle s’immobilise, elle hyper-ventile, elle souffre, mais en silence. Je lubrifie encore son anus en l’enduisant de salive et entends Estelle prendre une forte inspiration.Elle s’affale sur moi, ses fesses s’immobilisent sur mes cuisses. Plus de vingt centimètres sont déjà en elle. Elle cherche sa respiration, elle manque d’air. Je glisse mes mains jusqu’à ses seins et les caresse délicatement, puis m’en saisis. Je l’encourage de mes mains à se redresser et venir se plaquer contre mon torse. Elle marque un arrêt, et la tirant brutalement vers moi, cède en poussant un cri et s’enfile les derniers centimètres de mon membre dans cul. Nous sommes parfaitement emboités, ses fesses encastrées dans mon bassin, son dos collé à moi, sa tête basculée sur mon épaule, joue contre joue, mes mains plaquées sous ses seins. Je sens son cœur battre la chamade, elle reste là, figée, sans un mot, pour essayer de s’habituer au monstre qui vit maintenant en elle. Son corps ne lui appartient plus, elle s’est offerte et il est trop tard pour faire machine arrière. Elle doit le laisser naviguer à son gré, vivre sa vie jusqu’à le sentir fondre de bonheur et mourir en elle. Sa libération.Je suis assis et bloqué sur la chaise, Estelle est immobile et incapable du moindre mouvement. Je quitte ses seins et att**** ses jambes une à une pour venir poser ses pieds sur mes genoux. Mes mains caressent l’intérieur de ses cuisses, sa peau si douce. J’écarte largement mes genoux, les siens s’écartent aussi, nous ne faisons qu’un. Une main vient se poser sur son sexe, ce fruit, cette merveille qui bouillonne sous mes doigts. Elle est en feu, un feu qu’elle contient mais qui la consume lentement, inexorablement. Mes doigts ouvrent le foyer de cette cheminée, libérant immédiatement ses braises liquides, Estelle gémit et s’écoule entre mes doigts et mouille mes couilles. Sans aucune hésitation, je glisse quatre doigts dans son brasier. Ils visitent, se promènent, tournent, entrent, sortent, plongent, dansent et recommencent. Dans cette position, la pénétration de mes doigts est peu profonde, mais est parfaite pour la stimulation de cette petite pastille, cette zone de muqueuse sensiblement différente, cette zone érogène et un peu bulbeuse, le point G. Il est là, sous mes doigts, je le stimule en le frottant délicatement. Estelle semble oublier le monstre qui l’habite, elle gémit, son corps ondule sous l’effet de ma caresse. La pastille gonfle sous mes doigts, je frotte, canlı kaçak bahis frotte et frotte encore. Estelle pose une main sur sa bouche, la pression monte, elle ne tient plus, son corps et traversé par une décharge, elle explose, jouit en pleurant de plaisir. Elle se liquéfie, je retire mes doigts inondés, et libère le volcan, elle crache son jus, arrosant ses cuisses, les miennes et le sol. Elle tremble de tout son corps, se crispe, se tend, pressant puissamment mon sexe bandé et bien calé en elle.Nous restons là, inerte, attendant qu’Estelle retrouve une partie de ses esprits. Puis l’attrapant et la maintenant sous les cuisses, je me lève et viens poser ses pieds sur la chaise. Elle att**** le dossier à pleine main au niveau des montants verticaux, mes mains glissent une à une sous ses fesses pour la maintenir et j’entame mon premier mouvement de retrait, lent, sur quelques centimètres seulement, puis réintègre son fondement. Pas de signe de douleur, pas d’opposition apparente, je peux y aller. Et pour y aller, j’y vais. Les allers et retours prennent de l’amplitude, de la vitesse. Après quelques minutes le rythme est soutenu, Estelle gémit, l’inquiétude et la douleur ont fait place au plaisir. Après quelques va et vient, je soulève Estelle, et la pose allongée sur le flanc, sur la table. Une main sous sa tête, l’autre sur sa fesse, qu’elle écarte largement.Mes mains posées de part et d’autre de la sienne, je recommence mes déplacements, glissant lentement et profondément dans son anus. Les sphincters sont parfaitement détendus, je manœuvre aisément dans ce chaud et humide conduit. Je sens mon gland élargir et distendre le rectum à chaque pénétration. Je lève la jambe d’Estelle et vient la poser sur mon épaule, une main sur sa cuisse, l’autre sur son tibia, je la pilonne méticuleusement. Après quelques minutes de ce pilonnage, Estelle pivote sur le dos et vient poser son autre jambe sur mon autre épaule. Ses mains écartent largement ses fesses, ses seins dansent au rythme de mes coups de reins, ses yeux brillent, elle me sourit, elle est heureuse. Puis soudainement, son visage se crispe, son sourire devient grimace, ses mains viennent bloquer les mouvements de ses seins, ses doigts maltraitent ses tétons érigés vers le plafond. Elle gémit, suffoque, la bouche grande ouverte, les yeux exorbités, elle jouit, elle jouit longuement. Le plaisir la submerge, un plaisir énorme, différent, inouï, une jouissance extrême. Son corps se tend, s’arque boute, se tord puis s’immobilise anéanti. Elle est sûr un petit nuage, au paradis, les yeux clos.Je ne bouge plus, je la laisse profiter, rêver, pleurer, respirer, réaliser, reprendre pied. Elle ouvre les yeux, me regarde et sourit.-« Mon dieu, quel plaisir, je ne me rappelle pas avoir jouis aussi fort de toute ma vie » me dit elle -« Ce plaisir vient d’effacer les anciens, tout simplement. » répondis-je-« Non, je n’ai rien oublié, et celui là, je vous garantis que je ne l’oublierai pas. »-« Peut-être »-« C’est certain, mais maintenant c’est à vous de prendre du plaisir »-« Ne vous inquiétez pas, j’en prends énormément à vous faire jouir, c’est un vrai bonheur »-« Oui, mais j’aimerai vous sentir jouir en moi » ajouta t-elle en s’agrippant à ses genoux et les ramenant de part et d’autre de ses beaux gros seins gonflés.-« Avec plaisir, mais attention, ça va secouer »-« Allez y, défoncez moi, donnez moi tout, crachez tout, videz vous dans mon cul, il est à vous »Sur ces mots d’une grossièreté inhabituelle, je pose mes mains sur le haut de ses cuisses, mes deux pouces glissent dans son vagin et tout en le caressant je reprends mes va et vient. Lentement au début, mais sur toute la longueur, seule l’extrémité de mon gland reste entre les sphincters distendus. Puis peu à peu, mes coups de reins augmentent en puissance. Mon bassin frappe ses fesses, mes couilles claques, chaque impact est ponctué d’un « Ohhh », d’un « Ahhh », elle encaisse, je me lâche. La vitesse de mes pénétrations est très rapide, les coups pleuvent, Estelle se tient à la table pour ne pas bouger, c’est la table qui se déplace. Je me penche sur elle, Estelle enroule ses bras autour de mon cou, et la prend par les fesses en me relevant. Elle est accrochée, pendue autour de mon cou comme un petit koala, ses jambes par dessus mes bras et enroulées autour de ma taille. Je la fais monter et descendre au rythme de mon pilonnage. Je la sodomise debout au milieu de la cuisine. Estelle m’embrasse et m’encourage dans mon entreprise. Mes couilles bouillonnent, la base de ma queue lance les premières sensations de picotements, l’extase est toute proche. Je préviens Estelle de l’irruption imminente qui entre deux gémissements m’informe qu’elle est prête à jouir également. Elle s’anime, s’agite, tremble. Je ne suis plus capable de me retenir, ma tête part en arrière et dans un râle a****l, je déverse ma semence dans le cul d’Estelle. Ma lave brulante l’envahie, l’inonde et déclenche chez elle un nouvel orgasme. Son corps me semble lourd, trop lourd, mes jambes flageolent, tremblent, proche de me lâcher. Je serre Estelle et m’assois sur la chaise. Nous restons là, enlacés, un long moment. Je sens ma queue perdre de sa splendeur et glisser pour s’échapper de l’anus d’Estelle qui se rendant compte de ma perte de rigidité, contracte ses sphincters et m’embrasse langoureusement puis me regarde en souriant et me dit :-« Vous essayez de m’échapper ? J’ai trop envie de vous garder en moi, bien au chaud »-« J’y resterai bien volontiers des heures entières »-« J’aimerai que cette sensation ne me quitte jamais, c’est trop bon, j’adore, mais bon… »Elle pose un baiser sur mes lèvres, pose ses mains sur mes épaules et tout en prenant appuis, se lève lentement, délicatement. Ma queue demi molle glisse, pressée par ses contractions, et finie par retrouver la lumière. Estelle reste là, jambes écarter, par dessus les miennes, à regarder mon sexe recouvert d’un mélange visqueux de sperme et de sécrétions anales, puis la petite flaque sur le sol qu’alimente un goutte à goutte que déverse son anus qui n’a pas encore retrouver son état et son étanchéité d’origine. Estelle est heureuse, souriante, resplendissante. Elle regarde l’horloge et me dit :-« Il est déjà 10h, vous me baisez depuis plus de 2h ! »-« C’est un reproche ? »-« Pas du tout, au contraire, je n’ai aucun reproche à vous faire, bien au contraire. Mais il va falloir revenir à notre quotidien bien moins exceptionnel »-« Oui, il va bien falloir ! »-« Venez, suivez moi, si vous voulez faire un brin de toilette, la salle de bain est là » me dit-elle en montrant une porte.-« Merci » dis-je en entrant.Quelques minutes plus tard, je reviens vers la cuisine, Estelle a remis son débardeur, le ménage est terminé. Elle me sourit, m’embrasse à pleine bouche et me dit :-« Bonne journée et à demain ? »-« 7h30 ? »-« Oui, c’est une bonne heure »-« Parfait, à demain » dis-je en sortantDepuis, et je pense jusqu’à la fin du confinement, nous nous retrouvons tous les matins de la semaine, pour baiser sans retenue.

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