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Un c4 à cause des fantasmes de mon mari …

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Un c4 à cause des fantasmes de mon mari …Auteur : L’artiste— Retire-la !— Quoi ?— Eh bien… ta culotte, retire-la, s’il te plaît !— Il est bien trop tard, mon coquin, et je n’ai pas le temps de m’amuser, je vais vraiment être en retard au boulot.— Cela ne prendra que quelques secondes, ma chérie. Tu es si belle habillée ainsi…, tes bas subliment tes jambes, cette petite jupe légèrement volante te va à ravir et ça m’exciterait tellement que tu sois nue en dessous, pour aller travailler.— Mais tu es fou, il n’en est pas question ! Imagine que quelqu’un s’en aperçoive…, pour qui vais-je passer ?— Mais j’espère bien que ce sera le cas ! L’idée que tu puisses te faire mater me plaît… et ce serait encore mieux que le mateur puisse être excité.— Tu as perdu la raison, moi, je préfère de loin que tes fantasmes restent privés.— S’il te plaît, mon ange, tu ne risques pas grand-chose et ça me ferait vraiment plaisir. Rien que d’y penser… j’ai des frissons !— Mais… euh…— Fais-le, s’il te plaît !— Tu n’es qu’un pervers, Jacques, t’es mignon…, un amour, mais un pervers quand même. Si ça continue comme ça, tu me demanderas bientôt de sortir en portant des oreilles de lapin !— Alors, t’es d’accord ?— Je ne veux pas en prendre la responsabilité, si tu me veux sans…, enlève-la toi-même !Jacques ne se fit pas prier, se rapprochant, il s’agenouilla devant moi, en me fixant intensément du regard il glissa doucement ses mains sous ma jupe et tout en me déposant de doux baisers sur les cuisses, fit descendre l’objet du litige centimètre après centimètre vers le sol. Une fois le pan de tissu aux chevilles, il se saisit d’un de mes pieds, en retira l’escarpin qui le chaussait et y attarda ses lèvres un instant pour l’embrasser passionnément. Il fit de même pour le second et brandit fièrement le bout de textile qui me servait de culotte au-dessus de sa tête comme s’il s’agissait d’un trophée. J’allai prendre congé, me retournant malgré tout avant de m’éclipser, j’embrassai la paume de ma main et d’un air coquin, lui soufflai ce baiser. Un sourire radieux et satisfait illuminait son visage.C’est ainsi que je me rendis au bureau ce jour-là : privée de mon sous-vêtement et les fesses à l’air ! Bien sûr cela me gênait bien plus que ça ne m’excitait… mais que ne ferais-je pas pour satisfaire les désirs déviants de mon homme ! Bon, autant quand même m’estimer heureuse, j’avais réussi à échapper au port des oreilles de Rabbit !–––oooOooo–––Je travaillais alors dans une usine de textiles : surveiller la production des chemises, des pantalons, des vestes en tous genres et gérer le personnel était mon quotidien. La trentaine, l’on me disait coquette, mignonne, gentille et sérieuse. Bien consciente du trouble que je provoquais à la gent masculine, j’étais heureuse de travailler dans un milieu essentiellement féminin et n’aspirais qu’à vivre paisiblement mon quotidien. Mon mari me comblait, ma vie routinière de couple me satisfaisait et le confort, certes modeste de nos existences me suffisait.Le seul vrai bémol à ma tranquillité, la tache dans le décor…, était les fantasmes légèrement surprenants que mon conjoint nourrissait. En effet, Jacques tournait en rond et semblait s’ennuyer. Plus le temps passait, plus ce dernier cultivait des désirs de plus en plus tordus. Son imagination débordante n’était pas avare d’idées saugrenues et il ne cessait plus de me quémander des faveurs de plus en plus osées…, pour ne pas dire, dépravées.Jusqu’ici, je jouais le jeu et après tout, pourquoi ne pas lui accorder quelques bonus à partir du moment où tout cela restait privé. Comme il semblait vouer une adoration pour mes pieds, je n’hésitais pas à lui confier régulièrement, dans l’intimité de notre chambre à coucher, un ou deux orteils à sucer pour qu’il puisse assouvir ses pulsions fétichistes. J’acceptais aussi très souvent de porter des dessous que personnellement j’estimais vulgaires, je me déguisais régulièrement en soubrette, en policière ou même en infirmière pour l’exciter et tolérais de temps à autre une rapide sodomie ou de recevoir, quelquefois, sa jouissance en bouche. Ces pratiques m’avaient demandé un effort conséquent au début, mais j’avais fini par m’y faire et ne trouvais plus cela si désagréable. Je me soumettais donc à ses désirs et prenais finalement aussi, un plaisir somme toute très relatif. Malgré tous mes efforts, quelle ne fut pas ma surprise lorsque Jacques, un jour, me confia en plein coït qu’il adorerait que je lui sois infidèle. Il ne m’était pas concevable de le tromper, alors je lui accordais cette faveur uniquement dans les mots qui accompagnaient les mises en scène fantasmées de nos ébats. Bref, je ne lui refusais rien et m’évertuais à satisfaire, pour lui être agréable, ses souhaits pour les moins bizarres ainsi que ses moindres caprices.–––oooOooo–––Me voilà donc au bureau sans culotte ! La journée fut longue et extrêmement stressante : me sentant épiée en permanence, j’essayais de me persuader que cela était dû au fruit de mon imagination, car je m’étais montrée extrêmement prudente. Les secondes s’écoulaient au ralenti tant j’étais impatiente d’entendre 19 h sonner pour enfin rejoindre mon domicile. À défaut et à mon plus grand étonnement, je fus convoquée par mon patron. Que pouvait-il bien me vouloir ? Cinq ans que je travaillais dans cette entreprise et cela ne m’était jamais arrivé. Mon cœur battit à tout rompre dans l’ascenseur me menant à l’étage de la direction. Serait-ce possible que ma hiérarchie ait eu vent de mon impudeur ? Non…, j’avais été vigilante… il devait s’agir forcément d’autre chose. Mon investissement au travail était conséquent, alors peut-être allais-je simplement me voir accorder une promotion ! Les battants de la cabine s’ouvrirent…, et ma gorge se noua. Une fois devant la porte du « big-boss », il me fallut quelques secondes pour en prenant une grande inspiration, oser enfin frapper. « Toc toc toc »— Entrez, je vous prie !J’ouvris et il était là, assis dans un fauteuil de cuir, à moitié caché derrière son écran d’ordinateur et tout un tas de dossiers, ses coudes reposants sur un immense bureau.— Ah, madame Lefort, prenez place, je vous attendais !M’asseyant timidement face à lui tout en prenant soin de resserrer un maximum les genoux, le regard de mon patron me transperçait, un large sourire ne quittait pas son visage et les quelques instants de silence qui précédèrent sa prise de parole, me semblèrent interminables.— Vous faites un excellent travail, madame Lefort, mais peut-être puis-je vous appeler Cynthia, cela sera plus facile.— Bien sûr, monsieur Tapaje ! C’est gentil de votre part…, que puis-je pour vous ?Un ange passa, plus pesant encore que le dernier puis, il ouvrit un tiroir de son bureau et en sortit une poche en carton à l’effigie d’une prestigieuse marque de lingerie fine. Mon sang ne fit qu’un tour, mes pommettes me chauffèrent et il me sembla défaillir.— Eh bien voilà, Cynthia, j’ai été faire trois achats pour vous cet après-midi.— Euh… je…— Chut, détendez-vous, je vous explique !Et il retourna le sac. Des dessous féminins en tous genres en tombèrent, j’aperçus de la dentelle, de la soie et même du cuir. Ma gêne étant à son paroxysme me laissa tétanisée, mon Boss, quant à lui, poursuivit sa représentation et en sélectionna une au hasard :— Voyez-vous, celle-ci doit assurément être du plus bel effet sur les fesses d’une jolie femme. Certes minimaliste, elle épouserait certainement parfaitement vos si délicieuses formes et je ne doute pas qu’elle vous aille à ravir, Cynthia. Tout autant affriolante, mais plus couvrante, celle-là semble aussi très suggestive avec sa dentelle ne masquant pas grand-chose de ce qu’elle pourrait bien recouvrir. En voilà une autre qui me paraît bien plus osée, clairement sexuelle, elle est toutefois raffinée et le cuir si doux la constituant ne laisse aucun doute sur les désirs coquins que sa propriétaire pourrait avoir en la portant…, nul doute que si elle vous habillait je nourrirais l’envie certaine de vous l’arracher. Mais savez-vous ce que toutes ces culottes, de cuir, de tissu ou de soie ont en commun, chère Cynthia ?— Euh…— Elles ne manquent pourtant pas de similitudes… !— …Tétanisée par la surprise que provoqua chez moi cette situation surréaliste, je restais muette. Mon patron, quant à lui, s’enivrait de la soie en collant le bout de tissu illegal bahis sur son nez tout en inspirant exagérément. Il poursuivit son monologue :— Le premier d’entre eux : vous êtes très belle Cynthia et je vous prie de bien vouloir me croire lorsque je vous dis que si ces dernières recouvraient votre intimité, je me ferais un plaisir de vous en débarrasser… ! Cette simple idée m’émoustille vraiment et me voilà bien à l’étroit dans mon pantalon de costume.Nous y voilà, l’augmentation espérée s’avérait finalement se matérialiser par une excroissance de son anatomie… et allait fatalement se conclure par « une promotion canapé ». J’allais à coup sûr devoir passer à la casserole et cette perspective ne m’enchantait guère. Monsieur Marc Tapaje reprit son discours avec une étincelle dans le regard qui me semblait être désireuse.— De plus, il s’agit là, dans les trois cas, d’un vêtement essentiel concernant la pudeur minimum qui incombe à chacun d’entre nous. Question hygiène, ça n’en reste pas moins indispensable afin de ne pas laisser votre ADN partout où vous pourriez vous asseoir puis, lorsqu’elles les portent, cela permet à leurs propriétaires de ne pas passer pour des allumeuses, des salopes… et de ne pas risquer d’être poursuivies pour attentat à la pudeur.Là, je crus défaillir…, le ton courtois du début, d’un coup devint sec et sarcastique. Aphone, ne sachant plus vraiment ni trop quoi en penser, ni trop quoi dire, je restai pétrifiée ainsi figée sur ma chaise !— Oui, Mme Lefort, vous en faites une belle…, de salope ! Je vous prie donc de bien vouloir prendre avec vous ses échantillons qui pourraient vous être utiles à l’avenir, de récupérer vos affaires et de libérer votre bureau, car pour conclure, vous êtes virée ! Estimez-vous heureuse que je ne porte pas plainte. Nous sommes une entreprise correcte et votre comportement est tout simplement intolérable.–––oooOooo–––C’est bien sûr déprimée et en colère que je rentrai chez moi. Me voilà sans emploi… comment avais-je pu être aussi naïve et accepter de faire une chose pareille. En franchissant le seuil de la porte, je me retrouvais nez à nez avec Jacques qui apparemment m’attendait avec impatience… lui avait l’air enchanté !— Eh bien mon cœur, tu en as mis du temps pour rentrer ce soir ? Aurais-tu attisé des appétits ?Décontenancée, je ne savais que répondre. Je venais par sa faute de me faire virer…, j’eus certainement honte de l’avouer et décidai, par lâcheté, de le taire pour le moment et à défaut, j’entrai dans son jeu.— Plus que tu ne l’imagines, mon chéri !Jacques sembla surpris, ne sachant pas trop à quoi s’en tenir, il se montra plus curieux.— Ah bon ? Ne me dis pas que quelqu’un a remarqué ton absence de sous-vêtement.— J’ai pourtant été super prudente, tu sais… mais… euh… oui… !— Qui ça, ma puce ? Dis-moi tout ! Oh, tu ne peux pas savoir comme je suis excité !Et effectivement, il s’était métamorphosé. L’air enchanté des débuts avait laissé place à un visage rougissant de bonheur, ses pupilles s’étaient dilatées et quelque chose semblant vivant prenait du volume sous sa ceinture. Sa joie manifeste m’ôta toute envie de décevoir mon homme et je décidai d’en rajouter une couche. Au diable le licenciement…, mon mari me voulait coquine et infidèle… il allait être servi !— Eh bien… mon patron… !— Ton patron ? Non ? Comment a-t-il réagi ?— J’ai réussi à rester discrète quasiment toute la journée, tu sais, mais en fin d’après-midi, il m’a convoquée dans son bureau.— Oui… et alors… ?— Eh bien, il voulait que je le dépanne, sa secrétaire étant malade, il espérait me voir taper un rapport pour lui.— Comment s’en est-il rendu compte ?— Il me dictait donc ce dernier, mais étant absorbée par l’écriture du document, je ne m’en suis pas aperçue tout de suite… !Commençant mon histoire imaginée de toutes pièces, Jacques lui, semblait de plus en plus sous tension. Me saisissant par le bras pour m’entraîner avec lui au salon, il m’invita à prendre place sur le canapé et voulut en savoir un peu plus.— De quoi ne t’es-tu pas aperçue, mon ange ?— Eh bien, alors qu’il cherchait ses mots pour la suite de ce fameux rapport, dans l’attente je me suis aperçue que mes genoux n’étaient plus vraiment joints et en levant les yeux, je constatais que ce n’était pas ses mots qu’il cherchait… Son regard pointait entre mes cuisses et il semblait être hypnotisé.— As-tu aimé le troubler ?— Je les ai écartées un peu plus !— Non ? Tu n’as pas osé ?— Ben si…, je dois bien avouer que de constater l’effet que je lui faisais ne me laissait pas indifférente… alors, oui, je suis désolée, mon chat, mais j’ai perdu la raison et j’ai fait en sorte de lui permettre d’avoir un point de vue bien plus confortable ! M’en veux-tu beaucoup ? lui demandai-je hypocritement.Mon mari, tout en m’écoutant lui raconter mes frasques, s’accroupissait face à moi sur le tapis du salon. Ses mains se posèrent sur mes chevilles, ripèrent doucement sur la soie du bas me recouvrant les jambes, glissèrent sur ma peau en s’aventurant sous ma jupe pour finir par atteindre ma croupe, nue bien entendu, qu’il empoigna fermement tout en déposant timidement ses lèvres sur mon sexe imberbe et détrempé d’impatience.— Mais, qu’est-ce que tu mouilles, ma coquine ! Je ne pensais pas que tu puisses oser aller si loin… Ne me dis quand même pas qu’il t’a baisée ?— N’était-ce pas ce que tu espérais ?Jacques ne répondit pas… bien trop occupé à embrasser l’abricot, mûr et goûteux qui s’offrait à lui, il se contenta de hocher la tête en signe d’approbation. Surprise d’être tant excitée par cette situation, j’agrippai fermement ses tempes pour lui coller ses lèvres un peu plus franchement sur mon sexe tout en soupirant de bonheur. D’une langue, douce et curieuse, mon Jules me lapait, fouillait, naviguait le long de ma raie et se montrait au fur et à mesure de plus en plus explorateur, me transportant avec plaisir dans un univers enivrant et vraiment délicieux. Si j’avais émis quelques réserves concernant son fantasme candauliste, si j’eus une légère appréhension à lui faire croire que je m’étais donnée à mon boss… là, nul doute que tout cela lui plaisait…, l’intensité de la gâterie à laquelle j’avais droit me rassura. Certes, ma vie professionnelle partait en lambeaux, ma réputation allait à coup sûr en prendre aussi un sacré coup…, alors pour l’heure, quitte à être dans le mensonge autant en tirer un minimum de satisfaction : je décidai donc, pour le plus grand plaisir de mon Jules bien entendu, d’enfoncer encore le clou…— Alors, oui, t’es cocu, mon chéri et tu n’as pas fini de l’être !Jacques fit une pause pour me regarder d’un œil qui avait quelque chose de différent, peut-être plus doux…, reconnaissant…, en tout cas, heureux et satisfait assurément. Je poursuivis mon imposture :— Il m’a fait jouir comme jamais, ma chatte est fatiguée… suce-moi plutôt les orteils !N’est-ce pas ce que font les cocus habituellement… lécher les pieds de leurs femmes ?Jacques eut un petit moment d’hésitation. Être si directive n’était pas dans mes habitudes, d’ordinaire c’était lui qui prenait les devants, c’était encore lui qui demandait, voir implorait… Là, il subissait, mais l’intonation sèche que j’avais employée ne laissant pas de place à la discussion, il s’exécuta. De l’entrecuisse, ses lèvres surfèrent sur mes jambes pour finir sur mes escarpins. Mon cocu en retira un avec délicatesse pour en extraire un pied, doux et pédicuré, sur lequel il déposa ses baisers avant de le débarrasser de la soie brillante de mon bas qui l’habillait encore. Alors qu’il s’employait à me lécher et aspirer un à un mes orteils avec application, je dégrafai son pantalon pour en sortir une queue gonflée d’excitation que je branlai un instant, admirant un moment son phallus bandé ainsi que son gland gonflé et décalotté. Mon homme, lui, continuait de s’occuper de mes petons… il les gobait, les aspirait et laissait de temps à autre glisser sa langue sur ma voûte plantaire en gémissant doucement. Il avait l’air d’aimer ça le coquin, j’en rajoutai donc encore un peu. Délaissant son sexe pour flatter le mien, je lui ordonnai : « branle-toi maintenant ! »Contre toutes attentes, cette situation inédite me procura énormément de plaisir et ma jouissance, alors que je le regardais se caresser, fut d’une rare intensité. Je ne me rappelle pas avoir vu Jacques éjaculer… et illegal bahis siteleri seul son poitrail recouvert de sperme témoigna de son orgasme.Le restant de la soirée se passa dans une atmosphère étrange… un peu froide, Jacques n’était pas très bavard. Une fois tous deux couchés, alors que j’étais sur le point de m’endormir, en me prenant dans ses bras il me demanda timidement.— As-tu aimé ?— Quoi donc ?— Te faire baiser par ton patron…, as-tu aimé ?— Oh oui… Incomparable !— Pourquoi ? Qu’avait-il de plus ?— Il n’envisage pas de me déguiser en soubrette, quant aux cornes…, il les préfère sur ton front que sur le sien !–––oooOooo–––J’avais passé une nuit blanche, Jacques quant à lui avait ronflé comme un bébé. Stressée, trop de problèmes me pesaient : le candaulisme de mon mari, mon licenciement et le fait que je n’avais rien dit à ce dernier…, il me fallait trouver des solutions et j’avais ma petite idée.Ce matin-là…, prenant mon petit-déjeuner et me préparant comme si de rien n’était, Jacques m’interpella alors que je m’apprêtais à partir :— As-tu mis une culotte aujourd’hui, ma chérie ?— Non, mon chat ! je pense que ce n’est plus vraiment nécessaire, lui répondis-je plein d’espièglerie.Et je filai telle une voleuse non sans l’avoir malgré tout embrassé. Autant la veille ça l’avait excité…, là, cela avait l’air de plutôt l’angoisser. Tant pis pour lui, par sa faute j’avais perdu mon emploi, il n’avait qu’à y réfléchir à deux fois avant de s’engager sur cette voie.Je prenais donc la route de l’immeuble abritant le P.D.G. de la boîte qui m’employait. Son directeur m’avait virée, son président ne verrait peut-être pas les choses ainsi !Une fois à l’accueil, je signalai ma présence. N’ayant pas pris de rendez-vous, je m’attendais à être refoulée dès ce premier barrage, mais à ma grande surprise, à l’annonce de mon nom on me fit patienter… Certes bien deux heures, mais monsieur Samuel Tirail me reçut finalement un peu avant midi.J’entrai donc dans son bureau, ce dernier ressemblait bien plus à la suite d’un hôtel haut de gamme qu’à un lieu de travail… enfin, de ce que j’en imaginais, ne m’étant jusqu’alors toujours contentée que de fréquenter des chambres d’hôtels bon marché.Monsieur Tirail vint à ma rencontre pour me saluer. Me prenant la main, tout grand sourire, il me guida vers le canapé d’un salon accueillant certainement les personnes qu’il recevait pour les faire patienter. Il s’agissait d’un homme d’une cinquantaine d’années au charisme intimidant. Un peu grassouillet, une calvitie déjà bien prononcée gagnait du terrain sur son front et, chaussée sur son nez, de gros binocles à doubles foyers recouvraient ses yeux créant chez lui un regard troublant. Sam Tirail n’était donc pas un canon de beauté, mais allez savoir pourquoi, ce dernier ne me laissait pourtant pas indifférente.M’asseyant, il prenait place sur le fauteuil me faisant face en me disant :— Alors, Madame Lefort, que me vaut le plaisir de votre visite ?— Mon licenciement !Il eut l’air surpris… Certes, avec tous les collaborateurs qu’il devait avoir, il était probable qu’il n’ait jamais entendu parler de moi, je me montrai donc un petit peu plus précise.— Voyez-vous, cela fait maintenant cinq ans que je travaille pour vous avec des états de services dont il ne me semble pas avoir à rougir. Je pense avoir toujours mené à bien toutes les missions qui m’ont été confiées et je n’ai jamais ménagé mes efforts pour servir au mieux les intérêts de mes employeurs… donc les vôtres !— Oui…, je me suis bien sûr un peu renseigné à votre sujet avant de vous recevoir, mais je dois reconnaître que je n’avais pas encore été informé du fait que vous ayez été remerciée. Que s’est-il passé Madame Lefort ?— Un problème vestimentaire !— … ?— Vous m’avez bien entendu. Pour des raisons qui me regardent, il m’arrive de ne pas porter de culotte. Même si des jupes un peu volantes m’habillent souvent, cela passe généralement inaperçu, mais apparemment monsieur Marc Tapaje, mon directeur, s’en est rendu compte et cela l’a assurément choqué. Comprenez ma surprise, vous, par exemple, cela vous perturbe-t-il ?— Pardon ?— Je n’en porte pas non plus aujourd’hui et je me demandais si cela vous avait posé un quelconque problème ?— j’avoue ne m’en être pas rendu compte, donc je ne saurais vous dire…Alors qu’il me répondait, j’entrouvris légèrement les cuisses afin de laisser respirer mon sexe qui commençait à luire d’émotion. Sa gêne étant certaine, je l’interrompis pour poursuivre :— C’est bien ce que je pensais, cela ne se voit pas ! Sauf bien sûr quand je le souhaite, mais je peux vous assurer que concernant monsieur Tapaje, je n’ai jamais voulu que cela soit le cas. J’en déduis donc que votre collaborateur nourrit des pulsions voyeuristes perverses et surtout, que ce dernier ne les assume pas. Je me sens lésée pour deux raisons, monsieur Tirail… et c’est pour cela que je viens faire appel à votre bon sens.Tout en lui parlant, mes genoux semblèrent attirés sur les extérieurs par une force imperceptible, mais irrésistible. Mon interlocuteur, lui, ne dé-scotchait plus son regard de mon entrejambe… le spectacle que je lui offrais ne le laissait pas insensible et un large sourire ne quittait plus son visage. Il me répondit, un peu niaisement :— Euh… oui…, quelles sont donc ces raisons… ?— Eh bien, elles me semblent pourtant claires. D’abord, mon licenciement… abusif à mon sens et uniquement dû à la frustration d’un homme n’assumant pas ses propres travers. Puis, bien sûr, je me sens vexée : je ne trouve pas mes fesses si moches que cela, il semblerait pourtant que monsieur Tapaje ne les ait pas appréciées à leur juste valeur. Quant à vous, monsieur Tirail, comment les trouvez-vous ? lui demandai-je, tout en positionnant ma main, délicatement, sur le haut de ma cuisse pour en rajouter à l’intensité du moment.Je visais juste, Sam Tirail semblait conquis ! Son visage rosit, des gouttelettes de transpiration perlèrent à son front et, de sa bouche grande ouverte, un « ohhh » admiratif s’échappa spontanément :— Rentrer donc la langue, monsieur Tirail ! Ma question est pourtant simple : préféreriez-vous me voir porter une culotte, ou pas ?— Euh… non, bien sûr ! Vos fesses sont magnifiques et sont certainement bien mieux à l’air libre.— À la bonne heure, elles vous plaisent ! Voilà donc au moins un problème presque résolu. Désireriez-vous les caresser ?Sam Tirail ne répondit rien et à défaut se leva, s’approcha et s’agenouilla face à moi tout en me déposant ses dextres sur chacune de mes cuisses, que j’écartai un peu plus largement tout en avançant légèrement mon bassin dénudé à sa rencontre pour l’accueillir plus chaleureusement. On ne pouvait pas dire que cet homme me plaisait…, il devait bien avoir 20 ans de plus que moi et son physique n’était pas vraiment attirant, toutefois cette situation me provoqua un émoi certain. Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas senti quelqu’un, hormis mon mari, me désirer ainsi. Jamais je ne l’avais trompé, mais je dois bien reconnaître que là, mon futur adultère potentiel me provoqua des frissons insoupçonnés. Tout cela m’excita beaucoup et une chaleur agréable m’envahissait le bas-ventre. Certes, il s’agissait pour moi que d’une étape incontournable à la mise en place de ma vengeance future, ainsi que d’un moment que j’avais imaginé pénible, mais indispensable à la réussite de mon plan. Contre toutes attentes, ce dernier s’avéra finalement être vraiment délicieux.Ses deux mains sur mes cuisses me semblèrent incandescentes, gagnant du terrain, elles remontèrent doucement sous ma jupe et s’emparèrent de mes fesses. Elles furent suivies de près par les lèvres de ma victime qui se posèrent sur ma peau. J’espérais voir ses baisers atteindre mon sexe, j’en trépignais même d’impatience, mais il n’en fut rien et à défaut, Sam Tirail m’abandonna, se leva et dégrafa son pantalon pour en sortir une queue gonflée de désir. Excitée comme jamais, j’avais envie d’elle, alors je ne me fis pas prier pour m’en saisir, la lui branler doucement un instant puis l’embrasser passionnément. Elle était bonne et si douce que ma langue prenait un réel plaisir à lui flatter le gland qui semblait tressaillir à son contact. La pipe que je lui prodiguais était goulue et affamée, masturbant fermement, suçant et aspirant avidement jusqu’à ce que monsieur canlı bahis siteleri Tirail interrompît mon ouvrage pour me placer à genoux sur le sofa, la jupe remontée jusqu’aux reins, cambrée et le cul offert à sa volonté. Sentant son membre, dans un premier temps écarter doucement mes lèvres intimes, il me pénétra par la suite d’un coup sec et profond. Après trois ou quatre coups de reins, mon baiseur se retira pour investir mes fesses qui, malgré une légère résistance, cédèrent sous la pression et avalèrent le phallus désireux et fortement demandeur. Il étirait mes chairs et me remplissait tout en me soutirant des râles de plaisir. Il ne fallut malheureusement que quelques instants pour sentir l’heureux bénéficiaire de mon cul promis, dans un long gémissement de béatitude, répandre sa semence au plus profond de mes entrailles. J’accueillis malgré tout avec délice le fruit de sa jouissance que je sentais avec délectation me réchauffer le corps.Un peu frustrée d’être restée sur ma faim, j’étais malgré tout comblée, mon plan se déroulait à merveille ! Mon précoce jouisseur s’exclama :— Oh, mais que c’était bon ! Je suis vraiment confus, j’aurais tant aimé me montrer plus endurant et avoir la chance de vous soutirer un orgasme.— Je suis heureuse de vous l’entendre dire, monsieur Tirail… heureuse et rassurée de constater que mes inquiétudes concernant l’estime que vous aviez de moi étaient infondées, quant à mes jouissances, inutile de me les soutirer, je vous les offrirais volontiers. Cela viendra…, j’en suis certaine et j’en trépigne d’impatience, rassurez-vous !— Madame Lefort, vous êtes merveilleusement délicieuse. Appelez-moi Sam, je vous en prie.— Entendue Sam, moi c’est Cynthia, mais vous le saviez déjà, je présume. Une bonne chose de faite ! Parlons donc maintenant du second point qui me contrariait.— De quoi s’agit-il, chère Cynthia ?— Eh bien, mon licenciement que je considère abusif, bien sûr !— Quel licenciement ? Je suis d’accord avec vous, si vous ne désirez pas porter de culotte, c’est tout à fait votre droit. Cet abus de pouvoir et ce manque certain de goût dont a fait preuve votre supérieur hiérarchique mérite évidemment une sanction : Tapaje sera viré et sa place vous reviendra de droit. Promettez-moi juste de régulièrement venir en personne me faire des rapports détaillés de vos activités.–––oooOooo–––Mission accomplie… ! Le lendemain, je posais mes affaires dans l’ex bureau de Marc Tapaje qui, à regret, se retrouva au chômage.Comme promis, je rendis compte de mon travail à mon président deux à trois fois par semaine et Samuel ne démérita pas d’éloges à mon égard. Il fit aussi preuve d’un appétit vorace : mes fesses eurent régulièrement droit à une attention toute particulière, même si mon abricot, ainsi que ma bouche, ne furent pas épargnés par ses assauts pour autant. Sam Tirail aimait tant mes comptes-rendus qu’il se montra de plus en plus gourmand et me laissa aussi, en parallèle, de plus en plus de pouvoir au sein de son entreprise qui, des chemises bas de gamme, avait évolué pour se spécialiser dans la fabrication de sous-vêtements luxueux. Eh oui, du non-port de petites culottes, j’en étais arrivée à devenir directrice d’une entreprise les fabriquant. Quant à Jacques, mon mari, lui qui désirait jadis tant être cocu, s’en mordit finalement les doigts et s’aperçut à ses dépens que tous fantasmes n’étaient pas forcément voués à être réalisés.Les jours et les semaines passèrent donc intensément auprès de Sam qui ne manquait jamais une occasion de me la mettre ; Jacques lui, bien que jaloux, n’eut pas d’autres choix que d’accepter ses cocufiages loin d’être si idylliques qu’il l’avait imaginé. Eh oui, ses désirs candaulistes avaient malheureusement pour lui, disparu… bien trop tard assurément et il se consola de mes pieds qui lui restèrent réservés, Sam Tirail n’étant pas fétichiste.–––oooOooo–––Un jour, je trouvais sur mon bureau un CV des plus surprenants : Marc Tapaje ! Ce dernier, toujours sans emploi, tentait sa chance. Il devait être tombé bien bas pour oser ainsi me demander un travail ? Par curiosité… mais peut-être aussi un peu par jeu, je décidai de le recevoir.— Ah, monsieur Tapaje, je suis heureuse de vous revoir, m’exclamai-je un peu hypocritement tout en l’invitant à s’asseoir sur la banquette qui meublait mon bureau.— Cela fait des mois que je recherche en vain un emploi, madame Lefort. J’ai appris votre ascension au sein de l’entreprise et je ne peux que vous en féliciter. Alors, voilà, je tenais dans un premier temps à m’excuser humblement pour le différent que nous avons eu… et je vous serai vraiment reconnaissant si vous acceptiez de bien vouloir m’embaucher au poste que vous occupiez jadis.Assise face à lui, je le regardai un instant intensément. Il baissa légèrement les yeux et sembla désemparé… il n’en menait vraiment pas large !— Je n’ai rien contre le fait de vous rembaucher, monsieur Tapaje, toutefois, êtes-vous certain d’être en mesure d’assumer les conditions de travail auxquelles vous serez confrontées ici ? lui demandai-je tout en desserrant légèrement les genoux.Par chance, pour une fois, je portais une culotte. Certes, de dentelles, elle s’avérait très suggestive et bien sûr, attira fatalement le regard de mon ex-patron qui en resta bouche bée. Je poursuivis :— Vous avez vu, aujourd’hui j’en porte une !— Euh… quoi… ?— Eh bien, une culotte…, c’est plutôt rare, mais aujourd’hui j’en ai mis une !Et je desserrai un peu plus encore mes jambes. J’étais bien consciente que je le prenais de court, mais l’air désemparé qu’il affichait m’amusait.— Elle vous plaît ? Peut-être que vous préféreriez finalement me voir sans ? Cela peut s’arranger…, je peux encore l’enlever, vous savez !En alliant le geste à la parole, je soulevai légèrement le bassin et commençai à faire glisser, doucement, le string que je portais ce jour-là vers le bas. Mon ex-patron en resta sans voix ! Ne sachant pas trop ce que je lui réservais, il me parut comme assommé, mais ne perdait rien de la scène pour autant. Alors que ma culotte n’était encore qu’à mi-fesses, je lui demandai :— Je crois me rappeler que vous ne vous seriez pas fait prier pour me la retirer… Peut-être que vous préféreriez en fait m’en débarrasser vous-même ? Est-ce le cas, monsieur Tapage ?En guise de réponse, il se leva et se rapprocha de moi, dégrafa la ceinture de son pantalon et le laissa tomber au sol, laissant par la même occasion se déployer un sexe déjà bien raide qui pointa dans ma direction. Tout en me regardant intensément dans les yeux, il s’accroupit pour se saisir de mon string et me le fit glisser aux chevilles. Une fois possesseur du pan de tissu dentelé, il le mit dans sa poche et tout en me regardant d’un air conquérant, s’apprêta à venir m’embrasser le minou. Posant un pied sur son épaule, je le repoussai prestement en lui disant :— Pas-touche, nous sommes une entreprise respectable, monsieur ! Spécialisés dans le prêt-à-porter féminin, 90 % des employés sont des femmes. Nous dessinons, fabriquons et vendons exclusivement des sous-vêtements et paradoxalement, tout comme moi, le personnel n’en porte que rarement. Si je vous redonne votre emploi, il vous faudra l’accepter ! Je ne peux certes pas vous en vouloir si vous vous rincez l’œil, mais je vous préviens, interdiction de consommer… autrement, je vous vire ! Ne rangez donc votre engin, il n’aura aucune utilité ici. Quant à ma culotte, gardez-la avec vous, je vous l’offre de bon-cœur…, considérez cela comme un cadeau de bienvenue, Monsieur Tapaje !–––oooOooo–––Et voilà comment les lubies saugrenues de mon mari ont à ce point changé ma vie. Qui aurait cru qu’un si insignifiant petit bout de tissu puisse à ce point bouleverser une existence si tranquille !Sam Tirail a pris une retraite dorée quelque part au soleil et je n’ai plus aucune nouvelle. Je me retrouve à la tête d’une multinationale spécialisée dans les dessous féminins et Marc Tapage a repris son poste de Directeur d’une de mes filiales. Se retrouvant condamné à voir passer des fesses nues toutes la journée sans pour autant pouvoir en profiter, il ne trouve finalement pas sa sentence si terrible, car cela lui permet malgré tout d’assouvir sans limite ses pulsions voyeuristes. Mon époux, quant à lui, a été guéri de ses travers candaulistes et il n’a de cesse de tout faire pour que je ne me lasse jamais de lui… il y réussit à merveille, je lui reste fidèle et suis devenue son trésor exclusif… sa merveille aux pieds de reine !Nous vivons heureux… et comptons avoir beaucoup d’enfants.Ah oui : un chien et deux chats aussi !Vive les p’tites culottes !

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